La chef populiste du Canada, Maxine Bernard, soutenue par le PPC.

Le PPC, c’est quoi?

Le Parti populaire du Canada, le PPC, fondé récemment par Maxime Bernier, s’articule sur les thèmes suivants: une politique étrangère axée sur la sécurité et la prospérité; défendre les intérêts des Canadiens des régions rurales; accroître la richesse des Québécois et des Canadiens; libérer le potentiel économique du Canada; réduire et décentraliser le gouvernement; et mettre en place une politique d’armes à feu équitable. Le PPC souhaite également que la politique canadienne en matière d’immigration soit révisée afin de répondre d’abord aux besoins économiques du Québec et du Canada. Le PPC met l’accent sur la croissance et la prospérité économique et le développement économique des entreprises en favorisant notamment la propriété privée, la liberté de commerce et le libre-échange, la réduction du fardeau fiscal des individus, des familles et des entreprises.  Il s’agit notamment d’abolir les subventions inutiles aux entreprises et de remplacer ces subventions par des baisses d’impôts.

Abolir les impôts sur les gains en capital, car ils représentent une taxe sur l’investissement, enlever les barrières au commerce interprovincial et favoriser l’entreprise agricole, notamment en abolissant la gestion de l’offre et les quotas de lait.  Ce cartel, en faveur d’un secteur économique particulier, se fait au détriment de la majorité et empêche les jeunes de démarrer une entreprise agricole.  Selon Maxime Bernier, l’immigration doit être contrôlée afin de mieux intégrer les nouveaux arrivants, notamment dans le respect de la culture et des sociétés québécoises et canadiennes. Les prochaines élections fédérales, en octobre 2019, permettront au PPC de présenter et de débattre ces idées sur la place publique.

Poésie Trois-RivièreJGA

Carrière à Patrimoine canadien, au Commissariat aux langues officielles et aux Archives et Bibliothèque Canada. Conférencier à l'UNESCO-Paris, à l'Internet Society à Washington, à l'Université de la Sorbonne à Paris et à l'Internet Society au Japon. Maîtrise de l'École nationale d'administration publique et M.A en histoire canadienne de l'Université de Sherbrooke.