l’existence même de l’organisme? Est-ce que la direction de la SDC tente de
se défiler? Pourtant, une échéance fixe pointe le bout du nez : l’assemblée générale, qui est prévue à la
fin de septembre 2009. Le report de la réunion spéciale d’
laisse à penser que l’on ne veut pas répondre aux questions relatives à
l’administration de la SDC. Qu’en
est-il? Nul ne le sait vraiment, puisque personne ne peut questionner vu
l’absence de forum pour ce faire. La
SDC tente-t-elle, stratégiquement, d’imposer un bâillon par différents
moyens : réunion spéciale d’
en lieu et place d’une assemblée générale extraordinaire demandée par une
trentaine de membres, menaces de poursuites judiciaires pour faire taire ceux
et celles qui disent tout haut ce que plusieurs aimeraient avoir la chance de
dire?
En tant que messager d’
le journal Métropole s’est toujours tenu
debout pour les commerçants et gens d’affaires du Vieux-Montréal et nous
poursuivrons notre action afin que la base du développement économique du
quartier, ses commerçants, puisse bénéficier du meilleur support possible. Nous
continuerons à parler pour vous, à être votre mégaphone, afin de nous assurer que
votre SDC soit sainement gérée. Le journal Métropole
a toujours travaillé et travaillera toujours pour les commerçants, afin
que tous et chacun puissent jouir d’un effort promotionnel concerté dans
l’intérêt de l’ensemble des commerçants du Vieux-Montréal.
Le journal a
toujours cru et croit toujours fermement en la nécessité de la SDC, dans son
rôle de développement et de promotion. Cependant, certains prétendent toutefois
que les actions de la SDC sont mal définies et mal orientées. Un vrai sens
du marketing peut-il être insufflé au
sein de l’organisme, afin qu’il rencontre ses objectifs, à savoir promouvoir et
développer l’offre commerciale du Vieux-Montréal et favoriser la visibilité de
tous les commerçants et gens d’affaires qui y ont pignon sur rue? D’ici à ce
que ce vœu se réalise, je ne peux que
souhaiter que les commerçants sortent de leur mutisme et demandent à la SDC
de rendre compte, une reddition de comptes à laquelle nous avons tous droit.
Source: Journal Métropole