« Il y a encore certains engagements qui ont été faits et qui doivent être affinés », a-t-il confié à une agence de presse canadienne. « Actuellement, nous essayons de finaliser cet accord, dans les meilleurs intérêts de Montréal ».
Aucune date n’a été fixée pour l’événement, mais il est probable qu’il garde son créneau habituel, c’est-à-dire le mois de juin : « Nous voulons que Montréal retrouve son statut comme étant l’un des plus importants Grand Prix au monde », a déclaré le maire Tremblay.
L’entente pour ce retour aux affaires tiendrait grâce aux appuis des gouvernements du Québec et d’Ottawa, qui se partagent les coûts mais aussi les profits. L’absence de Grand Prix du Canada au calendrier de cette année représentait beaucoup. Et pour cause, c’était la première fois dans l’histoire de la F1 que le championnat du monde n’avait pas de course en Amérique du Nord.
Soure: Presse Canadienne