« Je n’accepte pas qu’il y ait des irrégularités à la Ville de Montréal, parce que je décide qu’on va avoir une administration transparente, a scandé Gérald Tremblay. Alors je ne veux plus qu’on m’attaque sur ce sujet-là ». Il a de plus insisté sur l’inacceptabilité des scandales révélés au cours des dernières semaines précisant que son administration n’en était pas responsable. «L’intégrité est une valeur intrinsèque à ma famille. Mon père y tenant mordicus», nous avait-il précisé en entrevue le mois dernier.
Gérald Tremblay estime que l’avenir de Montréal – et non l’éthique – sera le principal enjeu de la campagne, qui débute le 18 septembre. Et à cet égard, il a traité sa rivale de « girouette » pour avoir réalisé les fusions à titre de ministre, pour ensuite se porter à la défense de la mairie de l’arrondissement de Ville-Marie. Il a aussi tenu à inviter ses advesaires à axer leur campagne sur l’avenir, plutôt que de rasasser de vieilles histoires qui font stagner un débat aussi important pour le développement de Montréal.
Le maire Tremblay a aussi rappelé que les employés municipaux sont soumis à des normes strictes en matière d’éthique, et que son administration maintient une politique de tolérance zéro à l’égard de