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Lettre aux journalistes prostituÉs

En ces temps troublés de
crise autour d’une grippe imaginaire, je veux vous dédier ce courriel à vous,
journalistes, sans qui rien de tout cela ne serait possible. Parce que je suis
écoeuré, tout simplement, de votre attitude. Ceux qui, parmi vous, ont encore
une conscience morale, comprendront. Mais je doute sincèrement que beaucoup
d’entre vous prendront le risque de perdre leur belle position médiatique pour
écouter la voix de leur conscience morale, au nom du simple respect de
l’humanité.

Dans ce dossier de la grippe,
j’agis en tant qu’intellectuel, vulgarisateur scientifique et épistémologue des
pratiques médicales. Mais certains d’entre vous préfèrent me lyncher et me discréditer,
plutôt que de s’intéresser à mes arguments. C’est bien plus facile, n’est-ce
pas? Mais franchement, je préfère cent fois passer pour un illuminé ou un
dénonciateur de complot mondial et par mes actions, sauver quelques milliers
de mes semblables de la folie vaccinale, que d’être comme vous les
marionnettes, les amplificateurs, les haut-parleurs de mensonges avérés,
d’imbécillités notoires et de manipulations perpétrées par des responsables de
santé corrompus jusqu’à la moelle. Si vous ne faisiez pas autant de tort à la
population en entretenant, de manière irresponsable, un climat de peur tissé de
mensonges et de désinformations, j’aurais de la pitié et de la compassion pour
vous. Mais j’en suis incapable, voyez-vous. Les putes, elles, ne font de tort à
personne, bien au contraire. Vous, si.

Et contrairement à ce que vous prétendez, je ne suis pas isolé. Je représente,
avec beaucoup d’autres qui ne prennent pas la parole haut et fort comme moi,
deux tiers de la population. Mais combien de temps avez-vous accordé à ceux qui
dénoncent les mensonges, en se fondant sur des documents scientifiques
irréfutables? Combien de temps, depuis sept mois? Même pas un pourcent du
temps de ce verbiage consacré à cette pandémie qui n’existe pas. Si pandémie il
y a, c’est une pandémie du mensonge, de la corruption, de l’avidité des
compagnies pharmaceutiques et de l’imbécillité. Et malheureusement, comme les
vaccins n’ont jamais fonctionné dans toute l’histoire de la médecine, on ne
pourra même pas espérer qu’un jour, on invente un vaccin contre la connerie et
la lâcheté.

J’espère juste qu’un jour, il y aura un tribunal, calqué sur celui de
Nuremberg. Et que vous serez jugés pour complicité de meurtre contre des
populations civiles. Soyez assurés, que ce jour-là, je serai présent et je me
ferai un plaisir de témoigner de vos turpitudes.

DAVID ROCKEFELLER ET LE NOUVEL ORDRE
MONDIAL

 
Tout d’abord, il y a ce discours de David Rockefeller, un des membres les plus
influents parmi l’élite qui cherche à mettre en place le Nouvel Ordre Mondial.
Si vous pensez que ce sont encore des ragots de conspirationnistes, allez
acheter ses mémoires, publiés en 2002. Voici ce qu’il y dit, à la page 405 :

« Quelques-uns croient même que nous (la famille Rockefeller) faisons partie
d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis,
caractérisant ma famille et moi en tant qu’internationalistes et conspirant
avec d’autres autour de la Terre pour construire une politique globale plus
intégrée ainsi qu’une structure économique – un seul monde si vous voulez. Si
cela est l’accusation, je suis coupable et fier de l’être ».

Lisez attentivement ce discours qu’il a prononcé en juin 1991, lors d’une
réunion de la Commission Trilatérale, à Baden Baden :

« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au Time
Magazine et d’autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos
réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque 40 ans. Il
nous aurait été impossible de développer nos plans pour le monde si nous avions
été assujettis à l’exposition publique durant toutes ces années. Mais le monde
est maintenant plus sophistiqué et préparé à entrer dans un gouvernement
mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de
banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale
pratiquée dans les siècles passés ».


JOHN SWINTON, RÉDACTEUR EN CHEF DU NEW YORK TIMES
 
À présent, l’autre côté de la médaille. La déclaration faite par le journaliste
John Swinton, l’ex-rédacteur en chef du New York Times, lors d’un banquet donné
en son honneur à l’occasion de son départ à la retraite, en réponse à un toast
porté à la presse indépendante (cité par Deirde Manifold dans « Towards World
Government »). C’était le 25 septembre 1880, et ça n’a toujours pas changé,
plus d’un siècle plus tard :

« Quelle folie que de porter un toast à la Presse indépendante! Chacun ici
présent ce soir sait que la presse indépendante n’existe pas. Vous le savez et
je le sais. Il n’y en a pas un parmi vous qui oserait publier ses vraies
opinions, et s’il le faisait, vous savez d’avance qu’elles ne seraient jamais
imprimées. Je suis payé 250 $ par semaine pour garder mes vraies opinions
en-dehors du journal pour lequel je travaille.

D’autres parmi vous sont payés le même montant pour un travail similaire. Si
j’autorisais la publication d’une bonne opinion dans un simple numéro de mon
journal, je perdrais mon emploi en moins de 24 heures, à la façon d’Othello.

Cet homme suffisamment fou pour publier la bonne opinion serait bientôt à la
rue en train de rechercher un nouvel emploi. La fonction de journaliste est de
détruire la vérité, de mentir radicalement, de pervertir, d’avilir, de ramper
aux pieds de l’élite et de se vendre lui-même, de vendre son pays et sa race
pour son pain quotidien ou, ce qui revient au même, son salaire. Vous savez cela
et je le sais. Quelle folie donc que de porter un toast à la presse
indépendante. Nous sommes les outils et les vassaux d’hommes riches qui
commandent derrière la scène. Nous sommes leurs marionnettes; ils tirent les
ficelles et nous dansons. Notre temps, nos talents, nos possibilités et nos
vies sont la propriété de ces hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels
».

MARC MENANT, JOURNALISTE À
EUROPE 1

Un dernier commentaire. Tant que je publiais des livres sur les relations, le
couple, l’éducation des enfants, la gestion des émotions, le management,
j’étais la coqueluche des journalistes de la presse écrite, radiophonique et
télévisuelle. Ils se battaient pour obtenir des entrevues avec moi. Ils
appelaient eux-mêmes mon éditeur pour savoir si j’avais sorti un nouveau livre,
pour pouvoir m’interviewer. Le jour où j’ai commencé à publier des livres sur
la santé (Le langage de la guérison – Prenez soin de vous, n’attendez pas que
les autres le fassent – éditions Jouvence), livres qui remettaient en cause les
vaccins et la cancérologie classique, plus aucune invitation ne me fut
adressée.

Sauf de la part de Marc Menant (Europe 1) et de Roselyne Fayard
(Radio Suisse Romande). Lorsque Marc Menant m’a invité pour parler de mon
livre, avant l’émission en direct, il m’a demandé de ne pas dire un mot sur les
vaccins, pas un mot sur le docteur Hamer, pas un mot critiquant la médecine
moderne ou la cancérologie. Lorsque, de manière provocatrice, je lui ai répondu
: « Nous sommes en direct, que se passera-t-il si je le fais quand même? » Il
m’a répondu : « Demain matin, je perds mon emploi. Tout simplement. » Par
respect pour lui, j’ai accepté de ne pas parler. Car son but était de
promouvoir mon livre pour que les auditeurs reçoivent, malgré la censure,
toutes les informations en le lisant. Mais c’est ce jour-là que j’ai eu la
preuve que la presse indépendante n’existait pas…

(Remarque : Depuis lors, Marc Menant a démissionné de la radio et a quitté le
métier de journaliste pour devenir auteur. Son premier livre (très bien
documenté) en dit long sur ses convictions : La médecine nous tue (éditions du
Rocher).


Jean-Jacques Crèvecoeur, Montréal

Entrevue avec le Dr Frasant

Entrevue avec Jean-Jacques Crèvecoeur