Interrogé à ce sujet mardi matin, Claude Dauphin a indiqué que la Ville était prête à aller dans ce sens, mais que la direction du service de police se butait à une fin de non-recevoir de la part du syndicat qui veut faire appliquer la convention collective. M. Dauphin dit avoir encore espoir qu’une solution soit trouvée pour permettre à des policiers temporaires qui sont à la limite des deux années permises par la convention de remplacer des collègues partis à la retraite. Une entente entre les parties à cet effet aurait pour conséquence de régler le cas d’environ 50 à 60 agents.
Claude Dauphin a par ailleurs mentionné qu’il a aussi été question de mettre en place de nouvelles brigades, que des négociations à ce sujet ont eu lieu avec le syndicat et qu’encore une fois, l’intransigeance a voulu que les résultats soient négatifs. Il a souligné que la balle est bel et bien dans le camp de la Fraternité des policiers et policières de Montréal.
Source: PC