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Bonjour la police!

Lundi, le président de la Fraternité des policiers et policières de Montréal, Yves Francoeur, a expliqué qu’environ 130 policiers temporaires arrivent ces jours-ci à la limite de jours travaillés permise par la convention collective. Or, au terme de cette limite, soit deux ans, ou 1500 heures par année, ils doivent être mis à pied ou devenir permanents. M. Francoeur a rappelé lundi que le maire Gérald Tremblay s’est engagé durant la campagne électorale à faire en sorte qu’il n’y ait pas de mises à pied et a demandé au maire de respecter sa parole. Il a en outre déploré que ses membres temporaires n’aient jamais eu l’heure juste du service de police.

Interrogé à ce sujet mardi matin, Claude Dauphin a indiqué que la Ville était prête à aller dans ce sens, mais que la direction du service de police se butait à une fin de non-recevoir de la part du syndicat qui veut faire appliquer la convention collective. M. Dauphin dit avoir encore espoir qu’une solution soit trouvée pour permettre à des policiers temporaires qui sont à la limite des deux années permises par la convention de remplacer des collègues partis à la retraite. Une entente entre les parties à cet effet aurait pour conséquence de régler le cas d’environ 50 à 60 agents.

Claude Dauphin a par ailleurs mentionné qu’il a aussi été question de mettre en place de nouvelles brigades, que des négociations à ce sujet ont eu lieu avec le syndicat et qu’encore une fois, l’intransigeance a voulu que les résultats soient négatifs. Il a souligné que la balle est bel et bien dans le camp de la Fraternité des policiers et policières de Montréal.

Source: PC



Montréal demande une ouverture de la part de la Fraternité des policiers

MONTREAL — Le président du comité exécutif de la Ville de Montréal,
Claude Dauphin, qui est aussi responsable de la sécurité publique,
soutient que l’administration du maire Tremblay est prête à négocier
pour qu’il n’y ait pas de mises à pied au sein du service de police.

Lundi,
le président de la Fraternité des policiers et policières de Montréal,
Yves Francoeur, a expliqué qu’environ 130 policiers temporaires
arrivent ces jours-ci à la limite de jours travaillés permise par la
convention collective. Or, au terme de cette limite, soit deux ans, ou
1500 heures par année, ils doivent être mis à pied ou devenir
permanents.

M. Francoeur a rappelé lundi que le maire Gérald
Tremblay s’est engagé durant la campagne électorale à faire en sorte
qu’il n’y ait pas de mises à pied et a demandé au maire de respecter sa
parole. Il a en outre déploré que ses membres temporaires n’aient
jamais eu l’heure juste du service de police.

Interrogé à ce
sujet mardi matin, Claude Dauphin a indiqué que la Ville était prête à
aller dans ce sens, mais que la direction du service de police se
butait à une fin de non-recevoir de la part du syndicat qui veut faire
appliquer la convention collective.

M. Dauphin dit avoir encore
espoir qu’une solution soit trouvée pour permettre à des policiers
temporaires qui sont à la limite des deux années permises par la
convention de remplacer des collègues partis à la retraite. Une entente
entre les parties à cet effet aurait pour conséquence de régler le cas
d’environ 50 à 60 agents.

Claude Dauphin a par ailleurs mentionné
qu’il a aussi été question de mettre en place de nouvelles brigades,
que des négociations à ce sujet ont eu lieu avec le syndicat et
qu’encore une fois, l’intransigeance a voulu que les résultats soient
négatifs.

Il a souligné que la balle est bel et bien dans le camp de la Fraternité des policiers et policières de Montréal.

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