Quel sermon ce dernier servait à la ménagère qui n’avait pas enfanté
depuis un an! On la menaçait même d’être excommuniée, prétextant qu’elle
se livrait volontairement à un contrôle des naissances. Qui ne l’aurait pas
fait après 14, 15 ou même 16 accouchements? Ces femmes ont vécu
péniblement le contrôle des autorités religieuses. Mais dès le début des années
60, la religion en prendra pour son rhume. Le Québec s’éveille alors à une
nouvelle réalité. On prône le développement économique et social qui permettra
à tous d’être « Maitres chez nous »!
Près de cinq décennies plus tard, nous sommes à nouveau sous l’emprise
d’une puissance insoupçonnée jusqu’ici. Les compagnies pharmaceutiques ont
réussi ce que peu de lobby n’ont pu même imaginer. Amener les gouvernements à
travers toute la planète à acheter des millions de vaccins en vue d’une
« probable » pandémie mondiale. On brandit des prognostics alarmistes. On compare
cette pandémie « virtuelle » aux ravages qu’avait causés la grippe espagnole au
début du 20e siècle. On fait même des prédictions sur le nombre de
décès que la grippe A (H1N1) provoquera.
Complètement insensé! Et à voir
la réaction de la population qui fait la queue dès les petites heures du matin
aux différents centres de vaccination, on peut comprendre l’emprise que ces
« cartels » de la santé ont développeé sur Monsieur et Madame Tout-le-monde et
surtout sur les dirigeants politiques. Un contrôle qui n’est pas sans nous rappeler
celui que nous subissions il n’y a pas si longtemps. Il faudra donc que la
population se réveille, que nos dirigeants mettent leurs culottes et cessent de
se faire mener par le bout du nez. À l’heure où l’Internet permet à chacun de
bien s’
le contre, il est grand temps que l’on se ferme à ce bourrage de crâne
intensif. Nous l’avons fait par le passé, au détriment d’une institution forte.
Nous pouvons réussir à nouveau. Il suffit d’un peu de volonté.
IMPOSER UNE VACCINATION
OBLIGATOIRE??
Que le ministre de la santé songe même à imposer une vaccination
obligatoire dépasse l’entendement. Aller dans ce sens constituerait, ni plus ni
moins, une violation des droits de la personne. Alors que même certains membres
du personnel médical québécois affirment, sous le couvert de l’anonymat, qu’ils
n’auraient pas eu recours à la vaccination n’eut été de l’obligation qu’on leur
imposait. Pour ma part, je n’hésiterai pas un instant à descendre dans la rue
pour dénoncer cette éventuelle dictature. Je tiens beaucoup trop à ma liberté,
à mon libre choix et à celui de ma famille. Jamais je n’accepterai de jouer les
cobayes pour ces « vendeux de pilules ». Et vous?
