Pourquoi je parle de censure? C’est qu’ici les médias ont tous opté
pour joindre l’action concertée du cartel pharmaceutique. Tous ont choisi de
médiatiser la psychose, la peur et la nécessité vitale de se faire vacciner.
Foutaises et balivernes. À la lumière des
recueillies par différents médias européens, Glaxo et l’OMS seraient de mèche
afin de propager, à l’échelle planétaire, l’idée d’une pandémie. Une stratégie
que nous avions avancée il y a quelques mois et pour laquelle on nous regardait
de façon étrange, allant même jusqu’à nous accuser de vouloir créer un débat
inutile sur la place publique.
Le cartel pharmaceutique n’a rien de nouveau. D’autres cartels ont vu le
jour et font équipe ou font pression selon les goûts sur les gouvernements
pour leur faire avaler la pilule, et par la bande, nous l’administrer. Ce que
je déplore, est que ces actions constituent une fraude et qu’elle a libre cours
sans qu’aucune autorité n’y remédie.
Une telle injustice ne devrait jamais avoir cours. Parce qu’elles sont
riches, puissantes, qu’elles peuvent se payer les meilleurs juristes et
avocats ou parce qu’elles ont les gouvernements à leur main, les grosses
compagnies et les cartels de tous genres évitent toutes les conséquences légales
de leurs actions. Des condamnations symboliques comme celle qui a été rendue au
cartel pétrolier récemment (1 M$), ne représentent pratiquement rien pour ces
entreprises multimilliardaires. En comparaison, elles ne sont d’aucune commune
mesure face aux amendes dont peut hériter un invidivu. Faites le calcul pour
une simple contravention de stationnement et vous verrez.
Comme le dit si bien le proverbe : il n’y a pas de fumée sans feu. De
telles rumeurs de collusion entre l’un des géants de l’industrie pharmaceutique
et l’OMS, l’organisme sensé régir les règles de santé à l’échelle mondiale,
sont sans doute fondées. Rappelons-nous simplement lorsque des allégations de
collusion des pétrolières ont fait surface, quelles ont été les premières
réactions. Le cartel de l’or noir s’était empressé de nier l’affaire et avait
investi beaucoup d’efforts pour l’étouffer.
Serions-nous en présence d’une
deuxième grande surpercherie? L’industrie pharmaceutique américaine
constitue le plus important lobby qui soit, avec plus de 600 membres. C’est 100
de plus que le nombre total de représentants à la Chambre, de Sénateurs et de
membres du Congrès réunis. Qui prend les décisions, pensez-vous, lorsque viennent
les questions de santé et toutes leurs implications? Posez la question
est sans doute aussi y répondre.
Pour en savoir plus sur ce complot, je vous invite à consulter les liens
suivants :
http://www.sciencemag.org/cgi/content/summary/sci;326/5951/350-b
http://www.financialsense.com/editorials/engdahl/2009/1208.html.
