En moins d’un an et demi, Vince a
réussi à faire voyager ses toiles. Où ça? À New York, Amsterdam, Paris, Shanghai. Pour le mois de décembre, du 3 au 6, les
toiles seront exposées à Istanbul, avant de prendre la direction de Melbourne
pour le mois de mars 2010. « Je rêve de pouvoir un jour suivre mes toiles.
J’ai été seulement à New York », explique-t-il, d’une modestie
déconcertante. Son inspiration, Vince la trouve à travers les gens qu’il croise
dans les lieux publics. On reconnaît ses toiles par le dessin d’un bonhomme
urbain, solitaire, sur un fond de couleurs vives. Ces bonhommes sont peints
sans bouche : « À quoi sert d’avoir une bouche, si tu n’as personne à
qui parler », mentionne-t-il.
réussi à faire voyager ses toiles. Où ça? À New York, Amsterdam, Paris, Shanghai. Pour le mois de décembre, du 3 au 6, les
toiles seront exposées à Istanbul, avant de prendre la direction de Melbourne
pour le mois de mars 2010. « Je rêve de pouvoir un jour suivre mes toiles.
J’ai été seulement à New York », explique-t-il, d’une modestie
déconcertante. Son inspiration, Vince la trouve à travers les gens qu’il croise
dans les lieux publics. On reconnaît ses toiles par le dessin d’un bonhomme
urbain, solitaire, sur un fond de couleurs vives. Ces bonhommes sont peints
sans bouche : « À quoi sert d’avoir une bouche, si tu n’as personne à
qui parler », mentionne-t-il.