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Affaire burrows : prudence chez le ch

 Évidemment, dans un dossier semblable, les joueurs marchent sur des
œufs et préfèrent de pas faire de vagues… car ils pourraient se
mettre les arbitres à dos. « Je
suis conscient que les arbitres ont un travail difficile à faire et
dans ce cas-là, c’est probablement la faute à un peu tout le monde.
C’est malheureux, parce que ça se règle d’une façon trop ouverte, selon
moi », a résumé Marc-André Bergeron. « Je fais des erreurs et les
arbitres également. Mais c’est la première fois que j’entends parler
d’un incident semblable », a commenté Michael Cammalleri.

« Il ne
faut pas grossir l’histoire, prévient Maxim Lapierre. Il a peut-être
dit ça après le match sous le coup de la frustration. Les arbitres ont
un travail difficile à faire et ils ont beaucoup de pression ». Même son de cloche du côté de Georges Laraque, qui connaît mieux que quiconque à Montréal la plupart des arbitres du circuit. « Moi, je dois négocier avec tous les arbitres et il ne m’est jamais rien arrivé de semblable », jure-t-il. Absent lors du dernier match en raison de raideurs au cou, Laraque
était de retour à l’entraînement et il sera à son poste jeudi, lors de
la visite des Stars de Dallas. Après avoir profité de deux jours
complets de repos, les joueurs du Tricolore ont sué à grosse gouttes,
alors que la dernière portion de la séance a été axée sur le patinage. « On s’en attendait. C’est le prix à payer pour deux jours de congé », a accepté Bergeron.

Source : RDS