Un véritable rêve
pour ce franco-québéco-marocain, qui a vécu à Montréal durant 4 ans à la fin des
années 90. Et comme un bonheur n’arrive jamais seul, il annonce dès aujourd’hui
une supplémentaire le jeudi 27 mai, à la représentation déjà prévue pour le 28
mai. Gad vient de troquer le Sunset Boulevard pour la rue de La Gauchetière.
L’auteur du spectacle aux 800 000 entrées, Papa est en haut, arrive en effet de
Los Angeles, où il a présenté deux représentations à guichets fermés au Comedy
Store.
À quelques semaines de la prestigieuse cérémonie des César, l’équivalent
des Oscars en France, dont il assure pour la 3e fois l’animation, Gad Elmaleh
est à Montréal pour promouvoir la nouvelle mouture de Papa est en haut, un
spectacle qui laissera comme toujours une large place à l’improvisation et où
l’humoriste proposera 50 % de matériel totalement inédits.
Rappelons que Papa est en haut s’inscrit dans la tradition du stand-up comique,
chère au cœur de Gad Elmaleh. Dans ce récit autobiographique, l’humoriste
évoque de façon burlesque et débridée les rapports père-fils, ainsi que les
grands amours d’une vie : amour filial, amour paternel et amour tout court.
Comme à son habitude, il laisse une très large part à l’improvisation et ne
cesse de surprendre son public pour le meilleur et pour le rire!
De retour à Paris dans quelques jours, il reprendra Papa est en haut au Palais
des sports (pour une 73e représentation dans cette salle!) et assurera également
la promotion du bouleversant film de Roselyne Bosch, La rafle. À l’affiche en
mars prochain en France, ce film traite de l’épouvantable rafle du vel’d’hiv en
juillet 1942, où la France de Vichy livrait plus de 13 000 juifs à l’occupant
nazi. Cette œuvre douloureuse souligne l’incroyable talent d’acteur de Gad
Elmaleh et son exceptionnelle capacité d’interprétation. Rappelons que Gad
vient également de tourner dans l’adaptation de Tintin par Steven Spielberg, un
film très attendu dont la sortie est prévue en 2011.
Gad fait rire, mais il sait aussi émouvoir, remuer et convaincre. S’il séduit
sans frontière, c’est peut-être bien parce qu’il parle une langue universelle;
celle du cœur.