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À la dÉfense des projets sociaux

À l’occasion de la séance du conseil du 8 février, Mme Jocelyn Ann Campbell, conseillère municipale du district de Saint-Sulpice, a fait le point sur le rôle qu’elle entend jouer au sein du conseil d’arrondissement de Ville-Marie. « Je suis très fière d’avoir la chance
d’être associée au développement social, économique et culturel du centre-ville
de la métropole, a-t-elle indiqué. En tant que conseillère de la ville, je suis
concernée par le centre-ville qui est le cœur économique de Montréal et du
Québec.

C’est pourquoi, sous le leadership du Maire Tremblay, je veux contribuer
personnellement à faire avancer des dossiers ou des projets, en collaboration
avec mes collègues élus. » Rappelons que la conseillère Campbell, qui a obtenu
un second mandat lors de l’élection du 1er novembre dernier,  a vécu, étudié (universités McGill et
Concordia) et travaillé dans Ville-Marie (journal La Criée et Palais des congrès de Montréal).

Elle a aussi été membre
du conseil d’administration d’Inter-Loge Centre-Sud. En plus de connaître le
territoire et les quartiers, Mme Campbell est sensible aux questions
liées à l’urbanisme, au transport en commun, à l’habitation et au développement
social. En 2009, elle a été conseillère associée au comité exécutif de la Ville
(développement social et famille).

« Depuis ma nomination, c’est avec plaisir que j’ai
accepté les invitations de divers organismes tels que la Société de
développement social de Ville-Marie, Coup de pouce, Sac à dos, les Loisirs
Sainte-Catherine-d’Alexandrie et le centre Jean-Claude-Malépart. Je vais poursuivre
ma tournée et rencontrer les acteurs du milieu afin de connaître les besoins de
la population et de voir comment on peut mieux y répondre. »

Au cours des prochaines semaines, Madame Campbell
compte travailler avec les intervenants de l’arrondissement Ville-Marie et de la
ville de Montréal sur le dossier de l’itinérance.  « Il y a beaucoup à faire et il faut faire
avancer les projets. Plusieurs pistes d’action ont été identifiées, mais
celles-ci doivent mener à des actions concrètes. Nos  principaux défis concernent la réalité des
personnes itinérantes, leurs problèmes et leurs besoins ainsi que leur
intégration dans le domaine public et dans le domaine privé. Il y a nécessité
d’agir rapidement, d’autant plus que les citoyens sont inquiets de constater
qu’il y a beaucoup de vente et de consommation de drogues dans le secteur, »  de conclure la conseillère Campbell.