Notre première mission, c’était d’établir un sentiment de sécurité
ici. C’est fait. On a donné de l’information minute par minute. On peut
maintenant passer à la deuxième phase de notre rôle : déterminer comment
on va aider le pays », a-t-il déclaré dimanche. M. Ojeda continue de maintenir que les autorités chiliennes ont
la situation en main, mais il s’attend tout de même à ce que le Chili
ait besoin d’aide pour l’étape de la reconstruction, ne serait-ce que
financièrement. « On tente de mettre en place un compte en banque pour que les
gens puissent envoyer de l’argent.
Mais il reste que notre aide se
précisera quand le gouvernement aura évalué la situation », a-t-il
indiqué. L’Association des Chiliens du Québec suit les développements et s’ajustera « en fonction des besoins ». La communauté chilienne du Québec est composée d’environ 12 000 personnes, dont la grande majorité vit à Montréal.
Source : QMI