Selon lui, en 2004,
premier ministre. Il ajoute qu’il fallait que le gouvernement se réconcilie
avec la centrale, à la suite d’une réforme des tribunaux administratifs. Mais le projet de l’ancien ministre
d’intégrer
des lésions professionnelles s’était heurté au veto d’Henri Massé,
l’ex-président de la centrale syndicale. Toujours selon M. Bellemare, il avait été
convoqué par Jean Charest à son bureau et s’était vu ordonner, en présence du
syndicaliste, de ne pas toucher à cet organisme paritaire.
Quant au financement de l’industrie de la
construction au PLQ, il promet toujours des choses « assez
percutantes ».