Organisée par le Syndicat des professeurs de l’État du Québec, cette
manifestation avait pour but non seulement de dénoncer la fin du programme, mais
d’annoncer également la coupure de 30 postes d’enseignants. Cette annonce faisait suite à une
importante coupure budgétaire de 5 M$ au budget du MICC, le forçant ainsi à ne
pas reconduire près d’une trentaine de classes en temps complet. Il faut
rappeler ici que ces cours sont offerts aux immigrants, afin de leur donner une
base de français écrit et de faciliter leur intégration dans la société
québécoise.
manifestation avait pour but non seulement de dénoncer la fin du programme, mais
d’annoncer également la coupure de 30 postes d’enseignants. Cette annonce faisait suite à une
importante coupure budgétaire de 5 M$ au budget du MICC, le forçant ainsi à ne
pas reconduire près d’une trentaine de classes en temps complet. Il faut
rappeler ici que ces cours sont offerts aux immigrants, afin de leur donner une
base de français écrit et de faciliter leur intégration dans la société
québécoise.
Les nouveaux arrivants n’auront désormais d’autres choix que de se
tourner vers l’une des 30 classes offertes par la Commission scolaire de
Montréal. Les cours de français écrit en temps complet assuraient en quelque sorte une
intégration plus rapide des nouveaux arrivants à la vie économique québécoise.
N’offrir ce cours qu’en temps partiel constitue un obstacle supplémentaire à
leur objectif d’intégration. Plusieurs centaines de personnes participaient à
la manifestation, devant le 360 McGill, afin de tenter de convaincre la ministre James de revenir sur sa décision.