au monde The Lost Finger, un producteur d’expérience de Québec qui le
guide. Il souhaite continuer à conquérir les gens et lorgne bien sûr
les États-Unis. «Jonathan chante en anglais parce qu’il fut élevé dans un milieu
anglophone.
Mais, l’un de ses rêves est de pouvoir composer en
français. C’est un jeune tenace qui ira loin, j’en suis certain», lance
l’expérimenté Richard Samson.
LE FILS DE….
Jonathan Roy a la voix de son père et sa détermination. Ça se sent,
ça se voit. «Je suis fier de mon père et fier surtout qu’il m’ait fait
confiance. Être le fils de… donne de beaux avantages, mais aussi des
désavantages. Je sais que je vais être jugé encore plus sévèrement,
mais j’assume,
car mes parents font tout pour moi», confie le jeune homme. De tels propos font vite oublier le gardien de but guerrier des
Remparts de Québec qui avait donné une bonne raclée injustifiée à Bobby
Nadeau. «Ça fait trois ans, j’ai eu ma leçon. Bobby et moi avons fait la paix
et pour nous, la page est tournée. Il joue au hockey à l’université
d’Halifax et c’est un bon gars», nous dit Jonathan Roy.
Source: Canoe
