Cette
transaction, annoncée mercredi, fait suite à la décision des acheteurs
américains des actifs d’Exeltech de ne pas relancer les activités
québécoises
de l’entreprise spécialisée dans l’entretien d’avions. Exeltech s’était
placée
en février dernier sous la protection de la Loi sur les faillites et ses
actifs
ont été achetés le mois dernier, pour 1,2 M$, par une entreprise
de
l’Alabama, Pemco World Air Services. Pemco
a choisi de transférer l’équipement acquis aux États-Unis et de cesser
les
activités d’Exeltech à Montréal et à Québec, ce qui se traduira par la
perte de
plus de 500 emplois.
transaction, annoncée mercredi, fait suite à la décision des acheteurs
américains des actifs d’Exeltech de ne pas relancer les activités
québécoises
de l’entreprise spécialisée dans l’entretien d’avions. Exeltech s’était
placée
en février dernier sous la protection de la Loi sur les faillites et ses
actifs
ont été achetés le mois dernier, pour 1,2 M$, par une entreprise
de
l’Alabama, Pemco World Air Services. Pemco
a choisi de transférer l’équipement acquis aux États-Unis et de cesser
les
activités d’Exeltech à Montréal et à Québec, ce qui se traduira par la
perte de
plus de 500 emplois.
Bombardier
a précisé, par voie de communiqué, que les installations acquises à
Saint-Laurent ont une superficie de plus de 10 000 m2 et qu’elles
seront opérationnelles dès l’automne prochain. L’acquisition
a été faite auprès de la firme RSM Richter, qui agit comme séquestre
d’Exeltech. La transaction, dont la valeur n’a pas été révélée, doit recevoir
l’aval de la Cour supérieure du Québec.
a précisé, par voie de communiqué, que les installations acquises à
Saint-Laurent ont une superficie de plus de 10 000 m2 et qu’elles
seront opérationnelles dès l’automne prochain. L’acquisition
a été faite auprès de la firme RSM Richter, qui agit comme séquestre
d’Exeltech. La transaction, dont la valeur n’a pas été révélée, doit recevoir
l’aval de la Cour supérieure du Québec.