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Lady gaga live au centre bell

LADY GAGA : UN MILLIARDAIRE A PAYÉ GROS

Lady Gaga a des fans de toutes
sortes et de tous horizons. Ce qui est
sûr, c’est que la jeune femme ne laisse pas indifférent. Ses clips travaillés
avec soin et aux scénarios parfois incompréhensibles captivent et fascinent
les fans. C’est comme
ça qu’un milliardaire russe, fan de Lady Gaga, a dépensé 1 M$ pour figurer dans un de ses clips. L’homme,
connu sous le nom d’Arkady,

figure dans le clip Alejandro,
pendant quelques secondes seulement. Ça fait cher
la figuration, mais rien n’a de prix, semble-t-il, pour ce personnage qui se
décrit comme « le plus grand » fan de la diva. Dans le
clip, on voit Arkady porter un veste en cuir façon SS et une casquette. Il fixe
Lady Gaga
avant de lancer violemment son képi. Ce
personnage énigmatique semble correspondre à la description…

10 MILLIONS D’AMIS SUR FACEBOOK AVANT BARAK OBAMA

C’est
la battaille entre Lady Gaga et Barack Obama : lequel atteindra
les dix millions d’amis Facebook le premier? Vu
qu’il n’y
a pas que le Mondial de soccer ou le G8 dans la vie, un autre sujet
d’importance
tient les fans de Lady Gaga et
de Barack Obama en haleine
actuellement : chacun détenteur d’un compte sur le site communautaire Facebook,
la grande question est de savoir lequel des deux atteindra le beau
chiffre de
dix millions d’amis sur leur profil. Pour
le
moment, prime à la scandaleuse, qui comptait vendredi dernier 9 117 813
contacts, tandis que le président des États-Unis n’en accusait « que »
9 100 763, selon le Parisien. Le quotidien, qui précise qu’un
autre
people a plus de treize millions d’amis. Mais vu qu’il est mort – il
s’agit de Michael Jackson – on ne
sait pas s’il entre dans ce concours!

TERRIFIÉE PAR LES BÉBÉS

Lady
Gaga
ne se sent pas prête à avoir un enfant, et ne sait même pas si elle est
faite
pour être mère. Lady
Gaga a confié qu’elle avait
peur d’avoir des enfants. Dans le dernier numéro du magazine Rolling
Stone, dont elle fait la
couverture vêtue d’un string et d’un soutien-gorge à mitraillette, elle
révèle
: « Je suis terrifiée par les bébés. Je
pense, en tant que femme, que tu changes une fois que tu as donné
naissance. Je
ne suis vraiment pas prête pour ça ». Si
la jeune femme préfère se
concentrer sur sa carrière de chanteuse, ce n’est pas nous qui allons
nous en
plaindre…

WEIRD YANKOVIC AIMERAIT PARODIER LADY GAGA

Lady
Gaga pourrait être la cible de l’humour corrosif de
Weird Al Yankovic, qui aimerait bien parodier un de ses derniers hits
pour son
prochain album. Polyvalent, le chanteur, humoriste, scénariste et
réalisateur est surtout connu pour ses rôles à la télévision et ses
reprises
amusantes de compositions connues. Avec lui, Beat it et Bad,
de
Michael Jackson, deviennent Eat it et Fat. Les pistes qui
trônent
au sommet du Billboard sont pour lui une source inépuisable
d’inspiration, d’où
son intérêt pour Lady Gaga. Elle est à son avis une « candidate idéale »
pour une
parodie.

Pour son prochain disque, Weird Al Yankovic a déjà
écrit neuf chansons. Il aimerait en composer encore trois autres. Pour
l’instant, cinq de ses nouvelles pistes sont disponibles sur son EP
« Internet
Leaks ». Occupé par sa tournée estivale, Weird Al Yankovic
aimerait beaucoup terminer son album avant la fin de l’année. Il avoue
toutefois qu’il ne sait pas si ce sera possible. « Les réseaux sociaux me
compliquent la tâche. Je ne serai jamais le premier à faire la parodie
d’une
chanson pop. Par le temps que j’enregistre un album, 10 000 parodies
sont déjà
sur You Tube. C’est beaucoup plus ardu d’être différent ». Son dernier CD, « Straight Outta Lynwood »,
avait atteint en 2006 le sommet du palmarès comique de Billboard, en
plus
d’être certifié or.

BIOGRAPHIE

D’origine
italienne, Stefani Joanne
Germanotta alias Lady
Gaga est née le 20 mars 1986 à New York. Chanteuse et
auteure-compositrice-interprète américaine, son nom est une référence à
la
chanson Radio Ga Ga de Queen. Lady Gaga se dit être influencée par de
grands
noms de la musique pop, tels que David Bowie ou Madonna. À l’âge de 4
ans, Lady
Gaga commence à apprendre le piano toute seule. À 11 ans, elle tente
d’entrer à
la Juilliard School de Manhattan, mais finalement rentre au Couvent du
Sacré
Cœur, une école privée catholique. Ses premières ballades sont écrites
lorsqu’elle a 13 ans.

À 17
ans, Lady Gaga est admise à l’université de la
Tisch
School of the Arts à New York. Son style s’améliore en composant des
essais sur
des sujets comme l’art, la religion ou l’ordre sociopolitique.
Désintéressée
par l’école, Lady Gaga se lance dans une carrière musicale. Elle
travaille en
tant que serveuse dans les bars de strip tease newyorkais et devient
brièvement  danseuse à gogo. Lady gaga débute une carrière difficile lorsqu’elle signe
avec
Def Jam Records à 19 ans. Le patron souvent absent, le label rompt le
contrat
au bout de trois mois. En 2007, Gaga collabore avec Lady Starlight, qui
l’aide
à créer son univers scénique.

Le duo
commence à donner des concerts dans
des
clubs du « Lower East Side ». Gaga trouve son créneau lorsqu’elle
commence à intégrer de la pop à ses mélodies et un vintage glam rock à
la David
Bowie. Elle se fait remarquer par Akon qui lui fait signer un contrat
conjoint chez « Interscope Records », Jimmy Iovine et  « Konvict
Muzik ». Au début de 2008, Lady Gaga s’installe à Los Angeles pour finaliser
son
premier album « The Fame ». Cette année est une révolution pour Lady
Gaga avec ses fameux titres « Just Dance, Poker Face, LoveGame ». Son deuxième album, « The Fame Monster », sorti en
2009, est classé deuxième album le plus vendu de l’année.

LADY GAGA AU CENTRE BELL

La
nouvelle reine de la pop
effectuait un second passage au Centre Bell en moins d’un an, lundi
soir. Sept
mois après avoir donné le coup d’envoi à sa tournée The Monster Ball
Tour

à Montréal, Lady Gaga a présenté un concert de plus de deux heures
revampé et
largement inspiré du théâtre musical. Un retour très attendu si on en
juge
l’accueil bruyant que lui ont réservé les 17 569 fans présents.

Le
27 novembre dernier, malgré un
spectacle aux allures de répétition générale, Lady Gaga, Stefani Joanne
Angelina Germanotta de son vrai nom, avait ainsi enflammé l’aréna.
Expérience
qu’elle a répétée, l’élément rodage cette fois-ci joint à l’équation. Celle
qu’on a qualifiée de «nouvelle
Madonna» a ouvert ce bal des excentricités en quatre actes sur Dance
In The
Dark
, son ombre immobile, armée d’épaulettes géantes, étant projetée
sur
l’écran circulaire masquant toujours le décor.

Le
rideau s’est finalement ouvert
sur la star new-yorkaise, qui a choisi sa ville natale pour situer
l’action
d’une trame où elle et ses amis, en route vers le Monster Ball, vivent
diverses
péripéties donnant évidemment prétexte aux différentes pièces de son
répertoire. Après
l’interprétation de Glitter
and Grease
, la chanteuse est restée figée et silencieuse pendant de
longues
secondes, arrachant à la foule fébrile cris et sifflements. Just
Dance
,
tube qui, doit-on vraiment le rappeler, lui a valu une renommée
mondiale, a
finalement démarré.

Autre
moment d’immobilité que la
finale qui, si elle a eu l’approbation bruyante de ses «little
monsters», a
plutôt brisé le rythme. C’est sans compter les entractes de quelques
minutes
qu’ont nécessité les changements d’actes et qui, malgré les vidéos
présentées
sur fond techno, ont réussi à nous arracher quelques bâillements. Pas
d’éloges non plus du côté des
chorégraphies qui ne réinventent pas la roue. La reine Gaga et son
équipe de
danseurs auront tout de même su efficacement utiliser le terrain de jeu
que
leur ont offert le décor et ses multiples structures.

Et
si beaucoup d’intermèdes entre
les chansons se sont avérés péniblement longs et souvent dénués
d’intérêt –
elle a, entre autres confié, détester se casser un ongle en jouant du
piano sur
une chanson haineuse dédiée à un ex-petit ami – ces passages auront
donné lieu
à certains moments forts. L’on
pense notamment à celui où, en
guise d’introduction à la pièce Telephone, l’une des fans dans la
salle
a reçu un appel de Gaga, gracieuseté de Virgin Mobile. Soulignons du
coup
qu’elle aura à maintes reprises manifesté son amour pour son public,
multipliant les interactions avec lui.

La
finale, avec un monstre géant se
déhanchant au rythme de Paparazzi alors que la chanteuse revêtait
ses
fameux sous-vêtements cracheurs de flammes, s’est également voulu des
plus
spectaculaires. Véritable
tableau artistique en soi,
en témoignent ses multiples changements de costumes, tous plus
extravagants les
uns des autres, la star n’est peut-être pas parvenue à déranger, comme
elle
s’acharne à le faire pratiquement quotidiennement sur les différents
tabloïds,
mais elle a néanmoins offert un pur divertissement ayant réellement des
airs
d’«opéra pop electro». Lady Gaga n’a de toute évidence pas fini de
réinventer
la pop.

DE GOGO DANSEUSE À VÉRITABLE ICÔNE POP

La
vie n’a pas été toujours un conte
de fées pour Lady Gaga, qui a d’abord joué les gogo danseuses avant de
voir le
succès poindre à l’horizon. Son arrivée dans le showbiz avec son premier
album,
The Fame, d’ailleurs gagnant d’un Grammy en 2008, a eu l’effet
d’une
bombe, et l’auteure-compositrice-interprète de 24 ans se retrouve
aujourd’hui
en tête de la liste des personnalités les plus influentes du magazine Time.

Les
24 premiers spectacles de la
présente tournée ont d’ailleurs générés des revenus de 23,5 millions de
dollars, et des concerts sont prévus jusqu’en avril 2011. Un nouvel
album est
également attendu au début de la prochaine année.

Sources
:

Canoe

voici.fr

showbizz.net

news-de-stars.com

staragora.com
ladygaga.com