« Depuis le passage du bac au sac pour le recyclage des matières domestiques, le taux de recyclage dans Ville-Marie a nettement augmenté, hissant l’arrondissement au premier rang des meilleures performances pour l’ensemble de la Ville de Montréal. La mise en place du nouveau contenant multimatières sur la rue Sainte-Catherine contribuera non seulement à dépasser les objectifs de récupération de la Politique québécoise de gestion des matières résiduelles, mais elle aura aussi un impact positif sur la propreté, un enjeu important dans un arrondissement qui voit défiler plus de 3 500 passants à l’heure sur certaines intersections de la plus grande artère commerciale au Canada ».
Le nouveau contenant est doté de deux compartiments de 75 litres. Il présente des avantages considérables, en comparaison avec la poubelle traditionnelle, notamment au niveau du repérage et de l’utilisation. En matière d’ergonomie, il est facile à utiliser tant pour le citoyen que pour le collecteur. Répondant à la préoccupation de l’administration d’améliorer la propreté de nos rues et de nos trottoirs, c’est par des ouvertures situées sur chaque côté – de formats distincts en fonction du type de matières – que les citoyens, travailleurs et visiteurs peuvent se départir de leurs résidus. Le compartiment « recyclage » permettra, entre autres, de récupérer d’importantes quantités de bouteilles d’eau, de contenants de jus et de boissons gazeuses et de journaux.
« L’implantation de ce nouvel outil de collecte des matières recyclables et de déchets sur la rue Sainte-Catherine démontre l’engagement de notre administration d’être responsable en matière environnementale. Elle permettra d’augmenter les quantités de matières recyclables, réduisant d’autant l’enfouissement », d’ajouter Sammy Forcillo. « Ce projet longtemps attendu confirme la volonté de Ville-Marie d’offrir des outils de collecte qui répondent davantage aux besoins des Montréalais et de visiteurs et qui contribuent à l’atteinte des objectifs de récupération de la Politique québécoise », de conclure Gérald Tremblay.