Le 7 juin
dernier, il était possible d’acheter un aller simple pour aussi peu que 19,99 $ avec Allegiant Airlines, en direction d’Orlando. En juillet, les prix sont
beaucoup plus élevés, mais encore nettement plus abordables qu’au départ de
Montréal. Les autorités aéroportuaires de l’aéroport Pierre-Elliott-Trudeau ont
de quoi s’inquiéter, puisqu’on soutient qu’environ 20 % de la clientèle
québécoise qui va en Floride a déjà choisi Plattsburgh, à une heure de
Montréal, avec stationnement gratuit et services bilingues.
Cet été, j’ai décidé de passer un peu de temps à Orlando
après une absence de quinze ans. La magie est omniprésente et le milieu parfait
pour s’amuser du matin au soir. Selon le Bureau touristique d’Orlando, cela
prendrait 67 journées de huit heures pour réaliser les 100 activités et cinq
ans pour prendre ses trois repas par jour dans chacun des 5 300 restaurants
d’Orlando. Avec ses 176 parcours de golf publics et semi-privés, les amateurs
ont l’embarras du choix.
Et en regroupant tous les espaces commerciaux, on obtient
une superficie de 52 millions de m2, ce qui correspondrait à 902
terrains de football américains. En 2008, le tourisme a généré 30 G$ et procuré de l’emploi à quelque 276 000 personnes, indique le US
Census Bureau. Orlando joue un rôle déterminant dans l’économie
floridienne. Chaque année, des centaines de milliers de touristes viennent
redécouvrir ce qu’ils ont vu la première fois plus jeune ou découvrir les
nouvelles activités de l’année.
À partir de mercredi, je vous propose de lire ce que j’ai
apprécié au cours de mon séjour. Neuf thèmes seront abordés : le Cirque du Soleil et son spectacle La Nouba, Arabian Nights, Sea
World, Magic Kingdom, Epcot, Animal Kingdom, Disney Hollywood Studios, Wet’n
& Wild et le Grand Floridian Resort & Spa.