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Heureusement qu’il y a la porno!

Middle Men raconte l’histoire véritable de
Jack Harris, qui a l’idée payante en diable de facturer à l’internaute le
contenu des films pornos qu’il visionne. Réalisé par George Gallo, il met en
vedette une bonne brochette d’acteurs, dont James Caan. Si Hollywood
s’intéresse à ce thème, c’est qu’il concerne une réalité qui touche des
millions de consommateurs. Je suis très content de faire la démonstration que
la porno est très populaire; vous le verrez plus loin, car les femmes en la
matière sont particulièrement hypocrites.

On les entend raconter à l’infini
qu’il s’agit de l’exploitation des femmes et que cela perpétue l’image de la
domination masculine. Mon œil! Un cabinet de statistiques, Jean-Marie Gall.com,
a répertorié qu’un visiteur sur trois de sites pornographiques dans le monde, était…
une visiteuse. Et c’est une industrie où les femmes occupent des postes de
productrices. Ici, chez nous, vous avez Anne-Marie Losique. Vous vous payez
peut-être sa tronche, mes petites dames du 450, mais quand « la Losique » se
rend à sa banque pour faire ses dépôts, elle rit et elle est indépendante des
hommes.

Et que dire des filles qui assument pleinement leur rôle de pornstar.
C’est un jeu dans lequel elles excèdent, la dissimulation. Depuis le temps que
la porno existe en image et sur pellicule, vous imaginez les millions de femmes
qui se sont faites complices du système. Un analyste a même fait remarquer
qu’il existe des productrices lesbiennes pour ce type de cinéma spécialisé, où
les hommes sont totalement absents. Malheureusement il y a des revers, dont la
pornographie infantile. Rien  n’est jamais parfait.

LA PORNO DEPUIS L’HOMME DES CAVERNES

La fascination pour le derrière de l’Homme ou le devant,
c’est selon, remonte à la période de la Préhistoire. On a retrouvé dans des
grottes des dessins « cochons ». 400 ans avant Jésus-Christ, l’Inde lançait le
Kama-Sutra, qui sert encore de référence pour savoir comment turlupiner sa
belle. À Pompéi, je ne vous décrirai pas ce que les laves du Volcan ont
englouti de fresques, mais quand les puritains archéologues anglais les ont
révélées au XIXe siècle, ils ont été choqués. Dès l’arrivée de l’appareil photo,
on s’est empressé de faire des images licencieuses.

Et que dire de l’avènement
de la pellicule sur film. Ce fut l’explosion. Revenons maintenant aux
statistiques sur le Net. Tenez-vous bien, mesdames et messieurs, ça n’a rien de
marginal. La chaîne de télé américaine MSNBC révélait en 2000 que sur 57
millions d’américains qui avaient accès à Internet, 25 millions se rendaient
sur des sites pornos. Le cabinet Gall nous donne des chiffres pour l’année en
cours. La pornographie représente 12 % des sites Web dans le monde, soit  24 644 172. Tous des sites Olé Olé! Et il
s’en crée 200 nouveaux chaque jour.

Chaque seconde, il se dépense mondialement 3 675
$ ou, autrement dit, il y a à la seconde 28 258 terriens qui se tordent la
rétine devant leur écran. 35 % des téléchargements sur le Web sont à
caractère pornographique.  20 % des hommes admettent faire un petit
tour viscéral sur ces sites en plein travail. Et là, je vais bousculer votre
conception du monde en vous apprenant qu’on compte quotidiennement 2,5
milliards de courriels à contenu porno. Au total : un peu plus de 4 G$
de bénéfices dans le monde.

Et savez-vous quoi? Je vous le donne en mille,
quel est le jour préféré des petits cochons et des petites cochonnes
(maintenant que vous êtes démasquées, mesdames) pour aller se rincer l’œil… le
dimanche! Oh! Mon Dieu!

Les
opinions exprimées sont celles de l’auteur et ne reflètent pas
nécessairement
celles de lametropole.com.

Playboy maintenant au bureau…

TheSmokingJacket

Playboy

AML