Personne ne
demeure indifférent. Cavalia est voué à des années de succès. À quelques jours
de la fin des spectacles de l’année, le 22 août prochain, sous le grand
chapiteau à Brossard, face au Quartier Dix30, la salle était bondée. Quelque 2
000 personnes s’y donnent rendez-vous. Dès la première partie, le spectacle
présente la relation étroite entre l’homme et le cheval. Une relation empreinte
à la fois de tendresse, de complicité, voire de nostalgie. Le décor change au
gré des saisons de façon très subtile.
Empreint de poésie et d’émotions, le spectacle
présente des décors féeriques et intègre de façon innovatrice l’acrobatie, la
danse, la voltige aérienne et la musique en direct aux arts équestres. « Cavalia est un spectacle vivant et en
constante évolution. Au fil des ans, nous avons ajouté beaucoup de nouveautés.
Le spectacle a grandi avec ses nouveaux chevaux et plusieurs nouveaux artistes.
Le public peut ainsi découvrir ou redécouvrir le spectacle. Qu’il soit à deux
pattes ou à quatre pattes, chaque artiste apporte sa touche personnelle qui
fait de chaque représentation de Cavalia un spectacle unique en soi », indique
le président et directeur artistique de Cavalia, Normand Latourelle.
Cavalia est
non seulement un spectacle équestre qui sort des sentiers battus, mais aussi un
rapprochement avec la vision du Cirque du Soleil. Soixante-neuf chevaux de 13
races différentes et 35 artistes des quatre coins de la planète s’exécutent
dans le cadre de ce qui est considéré comme l’un des plus grands spectacles de
tournée au monde.
Au terme de
7 années de tournée ininterrompue à travers 41 villes visitées en Amérique du
Nord et en Europe, Cavalia permet de mettre en relief le talent d’un jeune
entraîneur québécois, Charles-Étienne Ménard, originaire de la région de
Vaudreuil-Soulanges, dans sa toute nouvelle interprétation d’un numéro de
liberté. Plus de 2,5 millions de spectateurs ont assisté aux représentations de
Cavalia depuis 2003.
Bon
spectacle!
