Les trois juges de la Cour d’appel du Québec ont rendu un jugement
unanime. En septembre 2007, lors de son témoignage à l’enquête sur remise en
liberté de son fils, Guy Lafleur avait omis de déclarer que ce dernier
avait passé la nuit à l’hôtel avec sa copine à deux reprises, lors d’une
sortie autorisée par le centre de désintoxication où il était confiné
par la cour. Mark Lafleur n’était autorisé à dormir que chez ses parents
durant ses sorties du centre. Puis, un mois plus tard, l’ex-joueur étoile du Canadien de Montréal
était revenu sur ses déclarations et avait reconnu que son fils était
allé à l’hôtel.
unanime. En septembre 2007, lors de son témoignage à l’enquête sur remise en
liberté de son fils, Guy Lafleur avait omis de déclarer que ce dernier
avait passé la nuit à l’hôtel avec sa copine à deux reprises, lors d’une
sortie autorisée par le centre de désintoxication où il était confiné
par la cour. Mark Lafleur n’était autorisé à dormir que chez ses parents
durant ses sorties du centre. Puis, un mois plus tard, l’ex-joueur étoile du Canadien de Montréal
était revenu sur ses déclarations et avait reconnu que son fils était
allé à l’hôtel.
C’est d’ailleurs Guy Lafleur qui allait le reconduire à
l’hôtel. En juin 2009, pour obstruction à la justice, Guy Lafleur avait été condamné à une année de probation, à payer une
amende de 100 $ et à verser 10 000 $ à un centre de désintoxication. Sa
condamnation faisait aussi en sorte qu’il avait un dossier criminel. En avril 2008, Guy Lafleur a intenté une poursuite contre le Service de police de la Ville
de Montréal et le gouvernement du Québec pour abus de pouvoir, violation
de ses droits et arrestation illégale. Il réclame 3,5 M$ en dédommagement. Dans l’affaire le concernant, Mark Lafleur était accusé de voies de
fait, de menaces de mort et de séquestration.
Source : Radio-Canada