Après le repas, soit vers 21 h 30, le Square Victoria s’est enflammé. Des feux de Bengale ont été allumés et les convives ont déplacé les tables pour se mettre à danser sur le rythme d’un DJ présent sur place.
NÉ EN FRANCE
Cet événement tient ses origines de la France. Il y a 25 ans, après avoir passé plusieurs années à l’extérieur du pays, François Pasquier est revenu chez lui et il voulait revoir ses amis qu’il n’avait pas vus depuis longtemps. Un groupe d’amis se donnait donc un point de rencontre où, pour se reconnaître, chacun devait être habillé en blanc. « Au fil du temps, c’est devenu une sorte de tradition et maintenant, plus de 12 000 personnes participent à cet événement tous les ans à Paris », explique Aymeric Pasquier, le fils de François.
C’est ce dernier qui coorganise la version montréalaise de ce dîner, après s’être fait approcher par le Montréalais Bobby Blanc, qui avait pris part à une des éditions parisiennes. Depuis, ce type de rassemblement est aussi organisé dans d’autres pays tels que l’Allemagne, la Belgique et les Pays-Bas. L’an dernier, pour la première année de la version montréalaise, environ 1000 personnes s’étaient données rendez-vous au quai Jacques-Cartier, dans le Vieux-Port de Montréal. Les organisateurs espèrent faire grandir le Dîner en blanc au fil des ans, pour qu’il devienne un rassemblement annuel aussi important qu’en France.
Source : Canoë
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