Jeudi le 9 septembre prochain en matinée, on va procéder au lancement
de la toute première collection de montres de Céline Dion. Et j’ai vu les
modèles! Vous allez tous jeter vos Timex, Omega et Longines par la fenêtre.
Elles sont belles comme c’est pas permis. Je comprends donc. Les fabricants
sont les mêmes qui conçoivent les montres pour Dolce & Gabbana. Ça vous
donne-tu une idée pas à peu près, de ce que vous pouvez avoir autour du
poignet. Pis le merveilleux de l’affaire, c’est qu’elles ne coûteront pas la
peau des fesses. Il y aura 42 modèles en tout (moi je les veux toutes,
entendez-vous) entre 100 $ et 500 $ pièce.
Lâchez Rolex, seigneur. C’est bien
trop bling-bling. Les montres de Céline vont être au top et vite. Surtout que
Céline est accroc aux montres comme elle l’est aux chaussures. Et c’est elle,
personnellement, qui a approuvé les différents designs. Elle a du goût, notre
Céline nationale. Moi, ce que je trouve merveilleux là-dedans, c’est qu’elle
aurait pu tout aussi bien faire son lancement sur Rodeo Drive à Beverley Hills
ou à Milan. Non, à Montréal! Le Québec est toujours cher à son cœur.
Le
lancement va se faire à 9 h le matin par un brunch jet-set et ce sera suivi par
une présentation à 11 h pour vous, mes lecteurs et lectrices adorés. Je le
sais, vous voulez savoir où? Attendez, il y aura de l’information placardée
partout pour vous en informer. Déjà que je vous livre un scoop, ne m’en
demandez pas trop. Mais vous verrez bien, en tant et lieu. Vous aussi vous
allez commencer à trouver la semaine longue.
*****
Quand on me demande si j’admire quelqu’un, je
ne cherche pas de midi à quatorze heures, c’est tout de suite Mickey Rourke.
Quelle résurrection. Quand vous êtes déprimé et que vous remuez du noir, pensez
à lui. Tout le monde dans le showbizz le donnait pour fini. J’en sais quelque
chose, car je l’ai bien connu du temps où je vivais à South Beach, à Miami. On
se voyait souvent. Il vivait dans un petit loft et déprimait. Rappelez-vous,
c’était après sa rupture avec Carrie Otis. C’était une maudite belle
fille. Rourke avait la batterie à terre. Mais en même temps, il n’avait pas
perdu tout espoir. Mais c’était réellement dur pour lui.
LA BELLE CARRIE OTTIS
Le milieu
cinématographique n’aurait même pas misé une piastre et quart. On ne le considérait
pas mieux qu’un vieux canasson. C’était mal connaître l’animal. Il s’est repris
en main et son retour spectaculaire s’est fait avec The Wrestler, en 2008. Le
monde n’en revenait pas, y compris moi-même. Puis là, vous le voyez triompher
présentement dans The expandable, de Sylvester Stallone. Certains
intellos commençaient à cracher sur le film. Mais le public a rendu son
verdict. Une folie au box-office, mes chouchous. Rourke doit rire dans sa
barbe. Puis, côté amour, vous avez vu qui se promène à son bras : la top Anastassija
Makarenko. Plus belle que ça tu meurs. Puis pas une cocotte. Avec Rourke,
ça ne tiendrait pas la route. Des informateurs à moi, qui la connaissent bien,
m’ont dit que si tu réunissais tous les ingrédients pour commander une fille
parfaite sur ordinateur, ça donnerait LA Makarenko. Il le mérite bien le beau
Mickey.
MICKEY ROURKE & ANASTASSIJA MAKARENKO
Il fallait bien que je donne un coup de matraque
quelque part, sinon ce ne serait pas moi. Et celui qui reçoit les coups cette
semaine c’est, je vous le donne en mille, Julio Iglesias. Quoi? S’en
prendre à lui, le bel hidalgo? Mais attendez! Avez-vous vu ce qu’il a fait lors
de son mariage avec sa compagne Miranda Rijnsburger avec qui il est
depuis vingt ans? C’était à Marbella, le 24 août dernier. Une cérémonie de
mariage très privée. Se trouvaient présents les cinq enfants qu’il a eu avec
elle et il n’a même pas invité ses trois premiers, Enrique et Julio
Jr., de même que sa fille Chabelli.
Ils ont été priés de rester chez eux. Elle est bien belle, sa Miranda.
Mais paraîtrait-il que l’épousée ne veut rien savoir des trois. Ce que femme
veut…
JULIO IGLESIAS & MIRANDA RIJNSBURGER
Et lui, pas plus fin, a acquiescé. L’aimez vous, votre latin lover? Je
suis loin de partager votre émerveillement. Parce que j’ai eu à l’interviewer,
le brummel. J’ai jamais vu quelqu’un d’aussi fendant. Puis, vous savez une
chose? Et je ne suis pas le seul à le savoir dans le milieu, il jalouse Enrique,
qui lui fait de l’ombre. Déjà que le père a vendu 300 millions de
« records », il ne pourrait pas savourer sa carrière sans en vouloir
à son fils? Pas très mature, le bonhomme. Puis, vous remarquerez qu’il se fait
toujours photographier en compagnie de ses plus jeunes enfants. Comme s’il
voulait se prouver qu’à son âge, y’est encore capable. Non, moi, le Julio, je
vous le laisse.
On se retrouve mercredi prochain. Gênez-vous
pas pour faire des folies, la vie est trop courte. Je vous aime.
Pour en savoir plus : MICHELGIROUARD.CA