La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) a rencontré
vendredi le représentant des employeurs des CPE syndiqués du Québec pour
amorcer les négociations. La semaine prochaine, ce sera au tour de la Confédération des syndicats
nationaux (CSN) d’échanger avec la partie patronale. Selon la coordonnatrice des négociations regroupées à
l’Association québécoise des centres de
la petite enfance (AQCPE), Dominique Bédard, il est difficile à l’heure
actuelle de faire le point sur
les négociations puisque les demandes syndicales n’ont pas encore été déposées.
vendredi le représentant des employeurs des CPE syndiqués du Québec pour
amorcer les négociations. La semaine prochaine, ce sera au tour de la Confédération des syndicats
nationaux (CSN) d’échanger avec la partie patronale. Selon la coordonnatrice des négociations regroupées à
l’Association québécoise des centres de
la petite enfance (AQCPE), Dominique Bédard, il est difficile à l’heure
actuelle de faire le point sur
les négociations puisque les demandes syndicales n’ont pas encore été déposées.
Mais du côté des employeurs, l’important, dit-elle, est de respecter le cadre financier octroyé
par l’État et d’assurer une qualité de
services pour les parents et leurs enfants. Celle-ci affirme également que les employeurs
considèrent que le Québec a un système efficace et enviable en matière de service à la petite enfance. Le Service des relations du travail de l’AQCPE est l’agent négociateur
patronal unique mandaté par 13 associations d’employeurs pour négocier les
clauses monétaires. Le réseau des CPE offre 86 000 places en services de garde éducatifs.
CPE