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Pyramides d’Égypte et extraterrestres…

Le 28 novembre 2010, dans une déclaration choc, le chef du Département Archéologique de l’Université du Caire, le Dr Ala Shaheen, dit à un auditoire « qu’il pourrait y avoir une théorie comme quoi les extraterrestre ont aidé les anciens Égyptiens à construire la plus ancienne des pyramides d’Égypte, comme celle de Gizeh ». Interrogé par Marek Novak, un délégué de la Pologne lui a posé la question à savoir si la pyramide pouvait contenir de la technologie extraterrestre, ou même un OVNI?

LE DR SHAHEEN, RESTANT VAGUE A RÉPONDU :

« Je ne peux pas confirmer ou nier, mais il y a quelque chose à l’intérieur de la pyramide qui « n’est pas de ce monde ». Les délégués à la conférence sur l’architecture égyptienne antique ont été choqués, mais le Dr Shaheen a refusé de commenter ou d’apporter des précisions sur l’ovni ou les extraterrestre.

LE PROJET ISIS

Fait étrange, il y a plusieurs années, en 1961, les Russes avaient lancé un projet, le projet Isis, afin de récupérer les connaissances cachées dans la grande pyramide. Ces connaissances auraient été stockées dans une bibliothèque appelée la chambre des connaissances. Finalement, les équipes russes auraient récupéré des documents, ainsi que le corps d’un extraterrestre. Beaucoup d’entre vous ont sans doute déjà visionné ce reportage (lien ci-dessous); je ne me prononcerai pas sur la réalité ou pas de cette histoire, mais cela vient corroborer les dires du Dr Ala Shaheen, et aussi ce que beaucoup soupçonnent de longue date. On sait aussi, mais beaucoup moins, qu’il existe également sous les pyramides un vaste complexe, et des vestiges gênants d’une science très avancée, comme le prouve le Nexus n° 33.

LE SPHINX ET LES PYRAMIDES NE SONT QUE
                   LA PARTIE VISIBLE D’UN FABULEUX ICEBERG…

Dans son étude célèbre, Des Mystères, en particulier ceux d’égypte, de Chaldée et d’Assyrie, Jamblique, un Syrien du quatrième siècle très représentatif de l’École d’Alexandrie dans les matières mystique et philosophique, rapporta cette observation au sujet de l’entrée de la Grande Pyramide par le corps du Sphinx : cette entrée, aujourd’hui obturée par le sable et les décombres peut être retrouvée entre les pattes avant du colosse accroupi. Elle était autrefois fermée par une grille de bronze dont seuls les Mages pouvaient actionner le mécanisme caché. Elle était protégée par la vénération publique et une sorte de terreur sacrée maintenait son inviolabilité mieux que ne l’aurait fait une protection armée.

Dans le ventre du Sphinx étaient creusées des galeries menant à la partie souterraine de la Grande Pyramide. Ces galeries s’entrecroisaient le long du parcours vers la Pyramide avec un tel art que quiconque s’y engageant sans guide retournait inévitablement à son point de départ. Les antiques cylindres scellés des Sumériens racontent que la demeure secrète des Anunnakis était « un lieu souterrain… où l’on pénètre par un tunnel dont l’entrée est cachée par le sable ainsi que par ce qu’ils nommaient Huwana… dont les dents sont semblables à celles d’un dragon et la face, à celle d’un lion ».

Ce texte ancien remarquable, dont il ne reste malheureusement que des fragments, ajoutait que « Il (Huwana) ne peut ni avancer, ni reculer », mais qu’en grimpant sur lui par l’arrière, le passage vers « la demeure secrète des Anunnakis » n’était plus bloqué. Les notes sumériennes fournissent une description probable du Sphinx de Gizeh, et si cette grande créature était construite pour garder ou obturer d’anciens escaliers et des passages inférieurs menant aux parties souterraines au-dessous et alentour, alors ce symbolisme était parfaitement opportun.

Ces quelques dernières années, un séismographe sophistiqué et un équipement radar pénétrant le sol (GPR) établirent l’exactitude de ces plans. L’Égypte utilise aussi avec succès des satellites de pointe afin de repérer les cités enfouies sous la surface du sol à Gizeh et ailleurs. Le nouveau système de repérage fut lancé début 1998 et permit de déterminer avec précision l’emplacement de 27 sites non encore fouillés sur 5 secteurs. Neuf de ces sites sont situés sur la rive est de Louxor, les autres à Gizeh, Abou Rawash, Sakkarah, et Dashour.

Les clichés du secteur de Gizeh montrent une masse presque incompréhensible constituée d’un entrelacs de tunnels et de salles en réseau, se recoupant et s’entortillant réciproquement comme un treillis s’étendant à travers tout le plateau. Avec cet important travail d’étude depuis l’espace, les égyptologues sont capables de déterminer l’emplacement d’un site majeur, son entrée probable et la taille des salles avant de commencer les fouilles. L’attention est attirée sur trois lieux secrets : un endroit dans le désert à quelques centaines de mètres en direction de l’ouest/sud-ouest de l’emplacement originel de la Pyramide Noire, autour de laquelle on construit actuellement un ensemble d’enceintes de béton, haute de sept mètres et couvrant huit kilomètres carrés; l’ancienne grande route qui reliait le temple de Louxor à Carnac, et le « Chemin d’Horus » à travers le nord Sinaï.

SOUS LES PYRAMIDES
      VESTIGES GÊNANT D’UNE SCIENCE AVANCÉE…

Il n’est nul doute que dans les pyramides, et sous ces pyramides, existent bel et bien des secrets cachés par les autorités. Nous vivons dans un monde de mensonges constants; la vérité de notre monde sur Terre, sous terre, et dans l’espace est falsifiée… Mais jusqu’à quand?

UN MUR AUTOUR DES PYRAMIDES…

En 2002, de manière presque inaperçue par le public mondial, un vaste mur de béton, surmonté d’une grille, a été érigé autour du terrain de Gizeh. Dès le début, Armin Risi a observé la construction. Voici son premier rapport de la situation. En mars 2002, j’ai entendu pour la première fois parler qu’un mur serait construit autour du plateau des pyramides et le terrain environnant. Des amis, de retour d’Égypte, avaient vu les fondations ainsi que les premières parties du mur. Quand le petit groupe privé de touristes voulait suivre la ligne des fondations qui conduit jusqu’au désert, il en a été empêché par des gardiens armés. On leur a interdit de faire d’autres photos, ce qui nous a tous rendus encore plus curieux. Qu’est-ce qui se passait ici?

UN MUR MYSTÉRIEUX,
       UNE CADENCE ÉLEVÉE DE TRAVAIL…

Apparemment, tout d’abord ce sont les fondations qui ont été érigées environ 0,5 mètre dans le sol, entremêlées d’une suite d’une double rangée de tiges en acier (avec tous les 10 cm deux des tiges en face). Pourquoi ce mur en béton doit-il être tellement renforcé? Et pourquoi sur une longueur de plusieurs kilomètres? Et pourquoi les premières parties du mur ont-elles été érigées à des angles très éloignés du plateau où ni des touristes, ni même les gens du pays se rendent? Est-ce que l’on voulait cacher le plus longtemps possible ce que l’on recherche par ici? La visite suivante, en juillet 2002, montrait que le mur grandissait à une cadence alarmante. Ici, on travaillait 24 heures par jour! Et au sommet du mur d’une hauteur d’environ 4 mètres se dressaient des tiges en fer de 3 mètres.

Lors des visites, en décembre 2002 et février 2003, on pouvait constater ce que cette construction signifiait : entretemps le mur avait atteint le plateau des pyramides et sur les tiges en fer des grilles avaient été fixées. En avril 2002, j’avais informé le chercheur bien connu, le professeur Jim Hurtak, de cette construction. À cette époque, il n’en avait pas encore entendu parler, mais il envoya un collaborateur qui confirma la chose et ramena de nombreuses photos. Sur son site Web, le professeur Hurtak publia l’estimation que le terrain emmuré aurait une superficie d’environ 8 km2.

De plus, il relata que « l’installation du mur est tellement gigantesque que dans ce but, quelques bâtiments et logements de village ont certainement dû être démolis et enlevés. De ce fait, il faut supposer que ce n’est pas seulement l’intérêt des touristes qui est en jeu. Ce que nous avons ici est un plan plus grand, bien réfléchi, qui inclut également les sites environnants et doit sécuriser probablement des tombes souterraines, des tunnels et des couloirs, etc. Le financement de ce mur viendrait des États-Unis; il est question, entre autres, de Stanford University ».

Quelles sont les motivations? On sait que pendant les dernières années, de nombreuses fouilles ont eu lieu sur le plateau de Gizeh. Ainsi, le sol a été « radiographié » par sonde acoustique et les pyramides étaient plusieurs fois fermées quelques mois. En février 2003, les trois pyramides étaient fermées aux touristes. Pour des travaux de rénovation! Serait-on en train de faire des recherches à l’intérieur? Ou les rumeurs concernant des souterrains et espaces sous le plateau sont-elles fondées? Des fouilles sont-elles programmées dont le public ne doit rien savoir?

Ce ne sont que des spéculations, mais en tout cas, cela vaut la peine de garder sous surveillance cette région dans un proche avenir, surtout par des chercheurs indépendants.

ARMIN RISI

Il parraitrait, selon plusieurs témoins, que depuis la construction de ce mur, les excavations en sous-sol vont bon train sur le site fermé et isolé des curieux; des bruits de grosses machineries sont également entendus, mais nul ne sait de quoi il s’agit réellement! Une zone où personne n’avait accès jusqu’à présent a été découverte également; les États-Unis exercent une surveillance accrue sur une structure interne de la pyramide. La chose la plus étonnante est que dans cette salle découverte, il y avait une signature thermique importante, de la chaleur… Et on mentionne la présence d’une « entité ».

Des forces spéciales ont été déployées aux alentours, et aux environs des 22 et 23 avril, cette entité inconnue est apparut, très grande, et étant vêtue d’or, portant une coiffe d’oiseaux. En consultant nos amis de la Geomatrix Gizeh, il semblerait que ce soit Thot!

THOT

Dans la mythologie égyptienne, Thot est le dieu lunaire. Représenté comme un ibis au plumage blanc et noir ou comme un babouin, Thot capte la lumière de la lune, dont il régit les cycles, à tel point qu’il fut surnommé « le seigneur du temps ». Inventeur de l’écriture et du langage, il est la « langue d’Atoum » et le dieu des scribes. Incarnation de l’intelligence et de la parole, il connaît les formules magiques auxquelles les dieux ne peuvent résister. Selon la légende, celui qui était capable de déchiffrer les formules magiques du Livre de Thot pouvait espérer surpasser même les dieux.

Le respect que Thot inspire lui vient de son savoir illimité. Toutes les sciences sont en sa possession : il connaît tout et comprend tout. En tant que détenteur de la connaissance, il est chargé de la diffuser. C’est pourquoi il a inventé l’écriture. Les anciens égyptiens pensaient que le savoir et la connaissance leur avaient été transmis par des livres et des écrits que Thot avait volontairement abandonnés dans des temples. Il préside à l’audition des morts au tribunal d’Osiris, et c’est Anubis qui pèse et juge les âmes en les comparant au poids d’une plume. Lors de son combat avec Seth, Horus perdit son œil, mais le retrouva par la suite grâce à Thot. Appelé « Oudjat », cet œil représente la victoire de l’ordre (légitime, Horus étant l’héritier du défunt Osiris) sur le chaos (Seth, qui perturbe l’ordre dynastique, et par conséquent l’ordre du monde).

EDGAR CAYCE

Edgar Cayce, est né en 1877 et mort en 1945; son oeuvre est considérable. Elle se compose d’environ 14 256 lectures, c’est à dire, de consultations et d’analyses données au cours d’une sorte de sommeil très spécial, apparenté à une transe médiumnique. « Bientôt viendra le temps des grands changements et dans trois endroits différents, on exhumera les archives atlantes. Le Temple de l’Atlantide surgira à nouveau. C’est alors qu’on mettra à jour le temple, ou plutôt la salle des archives en Égypte, ainsi que les archives qui avaient été cachées au coeur du pays atlante : elles pourront y être retrouvées […] Ces archives forment un tout ».

À PROPOS DE LA DÉCOUVERTE DE CETTE SALLE
          DES ARCHIVES EN ÉGYPTE À GIZEH, CAYCE DIT ENCORE :

« En ce qui concerne les archives (géo)physiques, il sera nécessaire d’attendre que s’accomplisse le temps de la désintégration de ce qui a été fait par les volontés égoïstes du monde. Car rappelez-vous que ces archives ont été réunies dans l’optique des changements mondiaux ». Un autre homme, Giordano Bruno, fut lui aussi l’un des premiers à oser dire que l’univers était infini et qu’il existait d’innombrables mondes habités… Giordano Bruno est le premier à postuler contre la doctrine de l’Église de l’époque, résultat : il fut brulé par l’église!!

À la lecture de sa condamnation au bûcher, Bruno commente : « Vous éprouvez sans doute plus de crainte à rendre cette sentence que moi à la recevoir ». Le 17 février 1600, il est mis nu, la langue entravée par un mors de bois l’empêchant de parler et de crier, sur le Campo Dei Fiori et supplicié sur le bûcher devant la foule des pèlerins venus pour le Jubilé. Tout semble lié au final, et tous les mystères et secrets qui nous entourent, aussi bien sur terre que sous terre, et même dans l’espace, seraient tous reliés par un fil mystèrieux…

Il n’est nul doute que dans les pyramides, et sous ces pyramides, existent bel et bien des secrets cachés par les autorités; nous vivons dans un monde de mensonges constants; la vérité de notre monde, sur Terre, sous terre et dans l’espace, est falsifiée et mensogère…

Mais jusqu’à quand?

À vous de juger…

Les opinions exprimées sont
celles de l’auteur et ne reflètent pas
nécessairement celles de lametropole.com

PAUL HELLYER

MICHAEL COHEN

SOUS LES PYRAMIDES VESTIGES GÊNANTS D’UNE SCIENCE AVANCÉE…

THE GIZA GEOMATRIX