L’étudiante
au doctorat en biologie a fait une découverte importante dans
la recherche sur la leucémie lymphoïde aigüe de type B à la suite
d’expérimentations exercées sur des souris. Plus
précisément, elle est
parvenue à identifier un gène enclin à faciliter le diagnostic de cette
maladie. Un cancer qui se caractérise par une prolifération anormale des cellules
productrices des anticorps essentiels à la défense de l’organisme contre les
microbes. Bien
qu’il s’agisse de recherche fondamentale, les résultats publiés récemment dans
la revue scientifique Blood
constituent une grande avancée et un pas de plus
vers un meilleur diagnostic, en plus d’un traitement plus efficace de ce
cancer, laissait savoir le professeur Éric Rassart par voie de communiqué.