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Dans le sillon de dryden

Après avoir également limité les Thrashers d’Atlanta
à un but mardi, Price se retrouve maintenant dans le top 10 de toutes
les catégories de statistiques réservées aux gardiens. « Il a
grandement progressé au niveau de son éthique de travail, de son
conditionnement physique et sa maturité », explique l’entraîneur-chef
Jacques Martin. « Il a également amélioré son intensité lors des
parties. » « Je fais les mêmes choses à l’entraînement et aux
matchs », précise Price. « Quand je pratique bien et que je me prépare
bien, je joue habituellement de bonnes rencontres. »

« Pierre Groulx fait du bon travail avec Carey et ce dernier est très réceptif », ajoute Martin. En 1977, Ken Dryden avait enregistré 10 jeux blancs, mais depuis, jamais personne n’en a réussi plus de sept en une saison. « Carey est un jeune gardien », souligne le
capitaine Brian Gionta. « Il est dans la ligue depuis un moment, mais il
a encore plein de choses à apprendre. Tant mieux s’il continue sa
progression. » Price sera de nouveau devant le filet du Canadien
contre le Lightning de Tampa Bay, samedi, alors que son auxiliaire Alex
Auld ne devrait plus voir beaucoup d’action d’ici la fin de la campagne.

L’EFFET SOPEL S’EST RAPIDEMENT FAIT SENTIR


Outre
Price, les unités spéciales ont également contribué aux succès du
Canadien récemment. En trois matchs depuis l’arrivée du défenseur Brent
Sopel, le Canadien n’a pas donné de but en neuf occasions en infériorité
numérique. Le Canadien avait alloué sept buts à court d’un homme lors
des trois rencontres précédentes. « Je suis fier de mon rôle »,
avoue Sopel. « Les unités spéciales font souvent la différence dans
l’issue d’un match. Il faut être prêt chaque soir à faire le travail. » «
Brent bloque des lancers », poursuit Travis Moen. « Il a joué avec une
équipe championne. Il amène son expérience sur la glace et c’est bon
pour notre équipe. »

Source: RDS

CAREY PRICE

KEN DRYDEN