S’il se dit particulièrement satisfait d’avoir
contribué à ramener la fierté et la passion dans l’organisation, son
plus grand regret demeure ne pas avoir réussi à tenir sa promesse de
ramener la coupe Stanley à Montréal. À l’aube de son départ,
Pierre Boivin s’est confié à notre columnist Bertrand Raymond. Lisez la
première partie de sa chronique intitulée Pierre Boivin ne voulait pas être président du CH.
contribué à ramener la fierté et la passion dans l’organisation, son
plus grand regret demeure ne pas avoir réussi à tenir sa promesse de
ramener la coupe Stanley à Montréal. À l’aube de son départ,
Pierre Boivin s’est confié à notre columnist Bertrand Raymond. Lisez la
première partie de sa chronique intitulée Pierre Boivin ne voulait pas être président du CH.
Source: RDS