Le règlement a été conclu après des accusations de publicité trompeuse portées par la commission fédérale du commerce des États-Unis (FTC). L’entreprise qui conçoit des vêtements de sport ne pourra plus vanter les prétendus « effets tonifiants » de ses chaussures, sauf s’ils sont appuyés par des preuves scientifiques. Un porte-parole de Reebok International à Canton, au Massachusetts, n’était pas disponible dans l’immédiat pour commenter la nouvelle. Reebok est une propriété de l’entreprise allemande Adidas. Les consommateurs lésés seront dédommagés directement par la FTC ou par l’entremise d’un recours collectif déjà autorisé par les tribunaux.

