Le premier spectacle Cavalia célébrait la rencontre de l’homme et du cheval. Odysséo franchit une autre étape avec le voyage à travers le monde et sa variété de climat. Cela a nécessité configuration de salle différente, où l’on peut admirer beaucoup plus de chevaux en même temps. L’enceinte est plus de deux fois plus grande et la scène impressionne avec sa colline verdoyante. On dit que c’est le plus grand chapiteau au monde. Rien ne cache la vue des spectateurs, qui voient défiler ces humains et chevaux, à travers des chorégraphies, une belle synergie.
Les artistes et chevaux se déplacent à travers une multitude de paysages grâce à la magie des images de synthèse: la montagne, les grands espaces, ces lieux privilégiés pour les randonnées. On présente divers numéros, avec ou sans les chevaux, permettant ainsi une belle variété de prestations, notamment les sauts en hauteur, les pirouettes sur le cheval et les ballets aériens. Le multimédia est fortement utilisé dans le spectacle, enveloppé par la musique en direct de Michel Cusson, autrefois membre de la formation UZEB.
Autre coup d’éclat: de l’eau qui surgit sur la scène, occupant la moitié de l’espace, ce qui permet une finale chaleureusement applaudie où les chevaux s’en donnent à coeur joie dans l’étang, suivis des danseurs et des acrobates. Après les représentations d’Odysséo à Laval, en novembre, la troupe se déplacera dans le sud des États-Unis poursuivre l’aventure.
Source: PC