L’entreprise
a expliqué que le coût des maisons a été gonflé par des milliards de dollars
dépensés en rénovations domiciliaires. Les
condominiums ont aussi eu un impact sur l’environnement urbain, poursuit
l’étude de Re/Max, notamment en Colombie-Britannique et en Alberta où ils
représentent maintenant entre 25 pour cent et 50 pour cent des ventes
résidentielles. Le
vice-président de Re/Max pour l’ouest canadien, Elton Ash, a expliqué que les
condos sont intéressants tout autant pour les acheteurs qui cherchent
à
accéder à la propriété pour une toute première fois que pour les acheteurs plus
âgés à la recherche d’un peu de luxe. Certains condos, poursuit le document,
valent maintenant plusieurs millions de dollars. Re/Max
ajoute que la valeur des permis de construire résidentiels émis à travers le
Canada entre 2000 et 2010 a atteint 340 milliards $ et qu’environ 450 milliards
$ ont été dépensés en rénovations. L’entreprise
rappelle enfin que la population canadienne s’est accru de 11 pour cent depuis
2000, ce qui a stimulé le marché de l’ immobilier.