Avec en sous-titre « C’est
la faute à Trudeau », c’est une satire sur la politique de bilinguisme
pancanadienne. Ce sont cinq anglophones, quatre canadiens et un américain qui
débarquent dans un petit village québécois pour des séances d’immersion en
langue française. Si la comédie s’essouffle parfois, il y a de sacrés bons
moments. Avec un casting époustouflant dont la remarquable Pascale Bussières, Robert
Charlebois et Yves Jacques pour
ne nommer que ceux-là. Et le grand plaisir c’est que ces comédiens sont tous à
contre-emploi.

