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Le pas du web 2.0

La rapidité avec laquelle les choses évoluent
est fulgurante. Il y a moins de 20 ans, on a vu les premiers ordinateurs prendre
place dans les bureaux et les domiciles du Québec. En 2012, nous sommes connectés
en permanence : ordinateurs, cellulaires ou autres tablettes et ce n’est que le
début…  C’est durant ces 5 dernières années que les
entreprises ont commencé à prendre conscience des phénomènes et des
opportunités que pouvaient apportées le Web 2.0. Phénomènes très proche de ce que l’on nomme en
anglais «the tipping point».

Le moment critique où la majorité des gens
prennent conscience d’un phénomène en y investissant temps et argent. Ce phénomène est semblable à ce qui s’est
produit il y a quelques années, lorsque le Web 1.0 est apparu comme une
nécessité pour toutes les entreprises qui souhaitaient rester en affaires.  Nous faisons maintenant face au même type de situation.
Les PME face à leurs habiletés à rivaliser dans une nouvelle réalité
d’affaires. Les grandes entreprises, pour leur part, ont déjà leur stratégie en
place grâce à leurs ressources financières solides. Plusieurs grandes
entreprises se sont ainsi brûlées lors du développement du Web 1.0. Elles ont trop traîné
les pieds, tandis que les PME ont eu un
«feeding frenzy»
au coût des grands.

Aujourd’hui la tendance s’est inversée, ce sont
maintenant les PME qui traînent la patte sur le Web 2.0. Beaucoup sont encore
incertains de l’importance de LinkedIn, Facebook, YouTube, blogues, Twitter et tous
les autres «social network» aujourd’hui
disponibles sur la toile. Ils oublient bien trop souvent l’importance d’équiper
leur personnel avec des connaissances d’utilisation solides et un matériel
efficace pour ce genre de pratique.  C’est une chose de mettre en ligne un blogue,
pour connecter avec 500 personnes sur LinkedIn, mais comment devons-nous nous
comporter avec les autres? Est-ce que mes employés savent comment interagir
avec les autres efficacement par les SMS ou par les messages LinkedIn? Quelle
image tentons-nous de transmettre à notre clientèle? Est-ce qu’il me faut
développer mes relations avec les autres d’une autre façon et si oui, comment?

Est-ce que le «face à face» a été
définitivement remplacé comme méthode pour développer nos relations d’affaires et est-ce
que la communication via Skype, ooVoo ou Adobe va le remplacer définitivement? Beaucoup de questions subsistent dans
l’imaginaire des décideurs Québécois. Qui a les réponses? Comment devons-nous composer avec toutes ces
nouvelles méthodes en prenant en compte les employés qui sont souvent
résistants au changement? Il est plus important que jamais d’ouvrir les
lignes de communications à tous les niveaux de l’entreprise pour avoir l’avis de
tous, car l’utilisation de ces nouveaux outils se fait à différents niveaux
hiérarchiques. Elle permet une communication plus rapide et peut, quand elle
est bien gérée, une forte amélioration de la productivité et des ventes.

Quelle belle opportunité de retrouver
l’engagement de nos employés par un leadership mobilisateur concernant la façon par
laquelle nous pouvons gagner plus de parts de marché que nos concurrents et
nous positionner comme un leader 2.0. Un conseil : Il ne faut surtout pas
attendre que le train passe pour passer à l’action. Chez Dale Carnegie, nous nous spécialisons dans
la formation avec les leaders d’entreprises pour les appuyer dans l’avancement
de leur stratégie en outillant leurs employés. Et de cette façon, leur
permettre d’accomplir les tâches requises pour la mise en place de la nouvelle stratégie
de l’entreprise en incluant les médias sociaux.

DALE CARNEGIE