s’astreignent à des inconforts inouïs en tentant de les éliminer avec des
applications à la cire. Si on acceptait encore hier de souffrir pour être
belle, remercions maintenant la technologie qui rend maintenant la vie plus
agréable. Les gens se renseignent aujourd’hui davantage qu’avant. Mais il reste
encore des zones d’interrogations. On me pose souvent la question. Quelle est
la différence entre le laser et l’utilisation de la lumière pulsée?
Elle
tient essentiellement à la longueur d’onde. Longueur d’onde en effet, car c’est
en pénétrant plus profondément que l’on parvient à non seulement extirper le
poil, mais aussi à mettre fin à sa reproduction.
LE LASER PLUS RESSENTI
D’entrée de jeu, il faut savoir que le laser
ne dispose que d’une longueur d’onde, tandis que la lumière pulsée en comporte
plusieurs. Et chaque épiderme réagira différemment, question de sensibilité.
Par exemple, on percevra plus subtilement la sensation du rayon laser. C’est
pourquoi, dans une clinique comme la nôtre, il n’est pas question d’improviser.
Première étape : l’analyse du poil. C’est important pour fixer le traitement
approprié. N’oublions pas que chez nous, nous oeuvrons dans le domaine paramédical.
PLUS LE POIL EST FIN
Et de plus, on aura recours à la lumière pulsée
à ondes courtes. En général, une bonne partie du protocole se fait au moyen de
cette onde laser, une seule longueur, que l’on nomme « light sheer ».
Le but visé? On éradique les capillaires sanguins qui nourrissent la
racine du poil. Comptez environ de six à huit visites pour une zone donnée.
Chez les hommes qui ont des poils disgracieux dans le dos, ce peut être un peu
plus long.
LE DUVET FÉMININ
Au grand jamais il ne faut raser un duvet chez
une femme. Le résultat est désastreux au plan de la récidive. À vrai dire, c’est
un véritable cauchemar. Dans ce cas on utilise l’électrolyse, le laser servant
exclusivement au poil. Aujourd’hui, la recherche aidant, on n’a plus à subir de
tels inconvénients. Dans nos cliniques plus qu’ailleurs, on a compris que le mot
impossible n’est pas français. Chaque cas est étudié au mérite.