C’est tout à l’honneur de Simon Rodrigue jeune cinéaste
talentueux d’avoir voulu pérenniser avec ce documentaire le souvenir du métier
de bûcheron. Il précise son intention qui est que la mémoire des bûcherons ne
s’efface pas sous les traits de la la machinerie. Il laisse des gens de métier
raconter leurs histoires d’antan. Souvent ces fils d’agriculteurs qui allaient
l’hiver sur les chantiers au service des compagnies américaines.