le lien ci-dessous), notre journaliste Daniel Rolland,
sous le titre « Place Alexis-Nihon cède aux islamistes » avait
rapporté que sous la pression des communautés ethniques et religieuses on avait supprimé des éléments de Noël à connotation religieuse, car cela heurtait
leurs convictions. Et dans son style inégalé qui lui a valu une entrevue avec
Benoît Dutrizac sur les ondes de 98,5 FM, Daniel
Rolland commentait cet accomodement, qu’il jugeait
déraisonnable.
Place Alexis-Nihon a porté plainte pour la réputation faite au
centre commercial et à la communauté musulmane. Mais l’entreprise a été
déboutée par le Conseil au motif de la liberté d’expression accordée aux
journalistes d’opinion.
VOICI LE VERDICT DU CONSEIL DE PRESSE
Comme quoi Daniel
Rolland, qui a célébré ses 40 ans de journalisme l’an dernier, sait très bien de quoi il parle et il n’écrit pas à l’emporte-pièce. Avis à
ceux qui voudraient se mesurer à lui. Rejoint chez lui, il a commenté la
décision du Conseil de presse : « Je suis très heureux de la prise de position du
Conseil. C’était dans l’ordre des choses. À entendre Place Alexis-Nihon, ç’aurait été de fermer sa gueule et de supporter de se faire bafouer par les intégristes qui veulent imposer leurs vues au Québec. Ils sont mal
tombés. Ça prouve qu’il faut toujours se battre pour ses convictions et que la
sincérité et l’intégrité du propos finiront par trouver justice. »