Si les Sex Pistols étaient les icônes, The Stranglers étaient – et sont toujours – les plus
authentiques ainsi qu’une véritable réflexion de l’époque tout en étant une
force commerciale sans faire de compromis! Quatre décennies, 17 albums et 24
succès au Top 40, le quartet originaire de Guildford a, grâce à des classiques
tels Golden Brown, Peaches, No More Heroes, Skin Deep et Strange Little Girl,
mérité sa place dans le grand livre d’histoire du rock!
Avec la sortie de Giants et l’extraits Mercury Rising les
fans tout comme les néophytes ont la chance d’entendre du nouveau matériel qui
reste fidèle à la sonorité classique des Stranglers. « Le groupe est au sommet de sa créativité musicale et
scénique et nous sommes très heureux de ce retour en Amérique du nord » raconte Jean-Jacques « JJ »
Burnel, bassiste et chanteur du groupe.
L’héritage des Stranglers a non seulement inspiré d’innombrables
groupes à travers le monde, mais le groupe a réussi à braver tous les styles et
les modes grâce à des fans d’une loyauté indéfectible, un talent indéniable
pour l’écriture et des spectacles d’une qualité exceptionnelle. Le retour des Stranglers en Amérique du Nord est un événement
et une occasion de voir un des rares groupes britanniques qui reflètent encore
une période emblématique de l’histoire de la musique.
Rattus Norvegicus, le premier album du
groupe parait en 1977 et établit The Stranglers comme
les premiers hors-la-loi du punk progressif. Suivirent les classiques No More Heroes(1977)
et Black and White (1978), avant la sortie ce qui est
sans doute le meilleur album live de l’époque, Live (X Cert) en
1979. Cette même année, le groupe surprend et surpasse les attentes en lançant The Raven, album mythique qui laissera son empreinte
sur l’héritage musical des Stranglers des temps modernes.
JJ Burnel (basse/voix), Dave Greenfield (claviers) Baz Warne (guitare/voix) et Jet Black (batterie).
Source : LaMetropole.com
