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De zÉro À hÉros

Si vous avez vu le film basé sur l’histoire vraie de Rudy, ce petit joueur de football au coeur gros comme ça, vous savez ce que je veux dire. Il y en a d’autres. Il y en a des tonnes, en fait. Mais elles sont anonymes, ces histoires de héros. De mères monoparentales sacrées là par un géniteur-séducteur impénitent aux survivants d’un cancer, en passant par une multitude de jeunes adultes poqués issus de familles dysfonctionnelles qui réussissent à marcher droit et devenir « quelqu’un » malgré les tentations d’un cercle d’influence pourri et d’une parenté qui hante leur esprit comme une mauvaise chanson entendue une fois de trop à la radio!

Aujourd’hui, c’est donc l’heure de s’inspirer et de voir ce que certains « grands » ont eu en tant que fondation comme bloc de départ.

Albert EINSTEIN : Jusqu’à presque l’âge de quatre ans, il ne pouvait pas parler et ses enseignants disaient qu’il « n’accomplirait pas grand-chose ».

Michael JORDAN : Après avoir été coupé de l’équipe de basketball de son équipe secondaire à douze ans, il s’est enfermé dans sa chambre et a pleuré. Il a insisté auprès du coach pour le reprendre et ce dernier lui a donné rendez-vous tous les matins à 7h00 dans le parc pour lui montrer ce qu’il lui manquait pour faire l’équipe, à condition de ne jamais manqué une session ou d’arriver même une minute en retard. Le reste est de l’histoire.

Walt DISNEY : Il a été renvoyé d’un journal pour « manque d’imagination » et « ne pas avoir d’idées originales ».



Steve JOBS :
À l’âge de trente ans, il a été dévasté et devenu dépressif lorsqu’il a été cavalièrement renvoyé de l’entreprise qu’il avait lui-même fondée.

Oprah WINFREY : Elle a subie une humiliante rétrogradation de son emploi comme chef d’antenne (le job de Pierre Bruneau ou Bernard Derome) parce qu’elle « n’avait pas ce qu’il fallait pour la télévision ».

Les BEATLES : Ils ont été rejeté par Decca Recording Studios et ont dit : « Nous n’aimons pas leur son – et ils n’ont aucun avenir en showbusiness ».

Ce n’est jamais terminé tant et aussi longtemps que nous n’en avons pas décidé ainsi. En terminant, je vous invite à voir cette vidéo de ce vétéran de la guerre du Golfe, à qui tous les médecins ont dit qu’il ne marcherait jamais sans aide, ayant subi trop de traumatismes à la colonne étant donné ses trop nombreux sauts en parachute.

La puissance qui nous habite sera toujours plus grande que la tâche qui demeure à accomplir.

MARC ANDRÉ MOREL