indépendante par Jimmy Larouche et Patricia Diaz, le film met en vedette Marc
Béland, Patrick Goyette, Normand D’Amour, Joëlle Morin, Martine Francke et
Sébastien Ricard. La Cicatrice est un suspense psychologique
qui aborde le thème de l’intimidation. Sa trame sonore a été
composée par la talentueuse Jorane. Nous
sommes également très fier d’annoncer que La cicatrice a récemment
remporté le Rising Star Award du Festival International du
Film du Canada, à Vancouver.
Rappelons qu’à
ce jour, La Cicatrice a été sélectionné dans
plus de 10 festivals internationaux dont les prestigieux Festival
International du film de Busan, Cinequest en Californie et Camerimage
Plus en Pologne.
SYNOPSIS
Comment
construit-on « l’échec d’une vie »? Les cicatrices les plus profondes ne
sont pas toujours les plus apparentes, et celle de Richard est à vif
depuis une certaine soirée où, dans une grange, alors qu’il était
enfant, sa vie a basculé. 30 plus tard, il est de retour au même endroit
avec l’intention de se venger. Entre réalisme et fantastique, La
Cicatrice dessine un suspense psychologique intense, à travers la
confrontation d’un homme avec son passé. Les jeux d’enfants ne sont pas
toujours innocents…
Le thème de la vengeance est utilisé comme
moteur narratif, afin d’aborder des thématiques difficiles telles que la
violence conjugale, l’alcoolisme et l’exclusion. Plutôt que se
contenter de dresser un portrait moralisateur des personnages
principaux, « La cicatrice » présentera, par un intrigant procédé de «
flashbacks » qui se recoupent, le chemin qui mena Richard Tremblay et
Paul Simoneau à poser tous les deux des gestes irréversibles. Pas de
méchants ni de bons dans ce récit, seulement des individus tourmentés,
aux prises avec des passés également douloureux.
Jimmy
Larouche a scénarisé et réalisé 9 courts-métrages primés et présentés dans de
nombreux festivals à travers le monde. À l’automne 2010, il tourne son premier
long-métrage intitulé La Cicatrice.
NOTES DU RÉALISATEUR
Le thème de la vengeance est utilisé comme moteur narratif, afin d’aborder des thématiques difficiles telles que la violence conjugale, l’alcoolisme et l’exclusion. Plutôt que se contenter de dresser un portrait moralisateur des personnages principaux, « La cicatrice » présentera, par un intrigant procédé de « flashbacks » qui se recoupent, le chemin qui mena Richard Tremblay et Paul Simoneau à poser tous les deux des gestes irréversibles. Pas de méchants ni de bons dans ce récit, seulement des individus tourmentés, aux prises avec des passés également douloureux.
La cicatrice est un long-métrage indépendant dont le tournage fut entièrement financé à l’aide d’investissements privés, de commandites et grâce à la grande générosité de ses artisans. La SODEC a par la suite décidé de financer la post-production de ce long-métrage ce qui a permis à ce film d’être finalisé dans d’excellentes conditions. La cicatrice a été tournée entièrement au Saguenay Lac-St-Jean. Le projet a reçu l’appui du député du Lac-St-Jean, Alexandre Cloutier, qui a su reconnaître les retombées positives d’un tournage en région, qu’elles soient économiques, culturelles ou touristiques. La véritable valeur de ce projet est de démontrer, qu’il est possible de développer une industrie cinématographique régionale et éventuellement de contrer une partie de l’exode des jeunes artistes vers les grands centres urbains.
Des auditions ouvertes nous ont également permis de combler 9 premiers rôles par des jeunes comédiens tous originaires du Saguenay/Lac-StJean. Pour arriver à trouver la crème de la crème, nous avons rencontré un total de 245 jeunes aspirants comédiens de la région. Nous avons aussi offert 5 stages à de jeunes étudiants de l’option cinéma à l’Université du Québec à Chicoutimi. De plus nous avons fait travailler plus de 5 techniciens professionnels de la région au sein de notre équipe qui comprenait environ 35 membres.
