C’était la toute première fois que Jill chantait en français en public. Car, même si elle avait toujours eu une profonde affection pour la culture francophone, elle s’était toujours sentie gênée d’échanger dans une autre langue que l’anglais sur les scènes de la province.
Tout cela a changé, ce soir-là, à Montréal. «J’ai simplement fermé les yeux, j’ai invoqué Édith Piaf, puis j’ai commencé à chanter, se souvient-elle. Et je n’oublierai jamais l’accueil du public, qui a été tout simplement extraordinaire! Même si mon français était loin d’être parfait, les gens ont visiblement apprécié que je fasse un petit effort! C’est cet instant-là, cette chaleur, qui m’ont poussée à me produire de plus en plus dans cette langue magnifique.»
« Un cadeau qui se déguste lentement » – Christophe Rodriguez (Journal de Montréal)
« La nostalgie sied bien à la pétillante chanteuse, dont le timbre velouté (doublé d’un accent charmant!) navigue avec grâce sur une gamme d’émotions. » – Geneviève Bouchard (Le Soleil)
« …il y a partout cette touche de fraîcheur et de sensualité souriante qui fait oublier que ce n’est pas exactement la première fois qu’on entend ces chansons. » – Guillaume Bourgault-Coté (Le Devoir)
« Elle livre les 12 pièces avec délicatesse, respect et grande classe, sa voix sertie dans des écrins finement orchestrés, sans ostentation, et vibrant d’une mélancolie dans laquelle il fait bon se promener. » Valérie Lessard (Le Droit)
Source : LaMetropole.com