La caporale Catherine Galliford a soutenu avoir reçu une lettre disant que la GRC souhaitait la licencier parce qu’elle est incapable de faire son travail. Mme Galliford, qui a intenté une poursuite civile contre le corps policier pour intimidation et agression sexuelle, est en congé de maladie depuis 2006. L’agente, qui a agi comme porte-parole de la GRC lors de l’affaire Robert Pickton et de l’explosion du vol 182 d’Air India, a indiqué que le processus de mise à pied devrait impliquer une audience devant un comité médical.
Selon Catherine Galliford, d’autres policiers de la GRC s’étant plaints d’avoir été victimes d’harcèlement dans l’exercice de leurs fonctions ont aussi reçu des lettres similaires. La GRC n’a pas immédiatement réagi aux déclarations de Mme Galliford. Dans un communiqué publié l’an dernier, le corps policier avait toutefois démenti les allégations de l’agente. Ces allégations n’ont pas été prouvées en cour.