Elle ne pouvait pas plus que cela s’approprier la Ville lumière. Isabelle Laflèche nous amène dans ses cafés favoris et vous verrez, ils sont nombreux! Elle nous partage ses bonnes boutiques et ses coins romantiques dans un langage choisi et très approprié. On y lit des paroles célèbres, on y découvre les adresses de certains musées trop souvent laissés pour compte au profit des populaires. Les galeries d’art et les bouquinistes ne sont pas en reste. Pour écrire son roman J’adore Paris, l’auteure s’était installée à Paris et nous sentons dans Carnet d’une romancière à Paris qu’elle y a trouvé une muse formidable.
Loin des guides du genre dans lesquels on classe les bonnes adresses à grand coups de fourchettes ou de toque, elle place les superlatifs et les adjectifs les uns aux côtés des autres, pour en faire des proses à l’eau de rose. Pour peu, Maurice Chevalier aurait mis de la musique sur les couplets. Un seul classement vous sera proposé, celui de la bourse. Combien vous en coûtera-t-il pour une virée chez Moustache ou pour dormir à l’hôtel de l’Abbaye? Un peu ou un peu moins qu’ailleurs, mais on s’en fout. Un ouvrage qui nous va droit au cœur, comme l’auteure a su le faire dans ses autres ouvrages littéraires.
Loin des guides du genre dans lesquels on classe les bonnes adresses à grand coups de fourchettes ou de toque, elle place les superlatifs et les adjectifs les uns aux côtés des autres, pour en faire des proses à l’eau de rose. Pour peu, Maurice Chevalier aurait mis de la musique sur les couplets. Un seul classement vous sera proposé, celui de la bourse. Combien vous en coûtera-t-il pour une virée chez Moustache ou pour dormir à l’hôtel de l’Abbaye? Un peu ou un peu moins qu’ailleurs, mais on s’en fout. Un ouvrage qui nous va droit au cœur, comme l’auteure a su le faire dans ses autres ouvrages littéraires.