Selon le président du syndicat, Benoit Piché, il y aura une seule infirmière pour 50 patients à compter du 3 novembre.« De voir disparaître les services directs aux patients comme ça, c’est un véritable gâchis! En plus, ça dégoûte et ça démotive tous les employés qui ont à cœur leur mission. L’agence de santé et le gouvernement doivent arrêter de se mettre la tête dans le sable. On ne peut pas faire plus avec moins, c’est de la pensée magique. »
Le syndicat de l’établissement indique que les coupures budgétaires risquent d’affecter non seulement la sécurité, mais également la qualité et la façon de prodiguer les soins aux patients du CHSLD de l’IUGM.