qui a été tourné en Nouvelle-Zélande, devaient faire livrer la neige fabriquée dans les installations de M. Quee dans Vancouver-Nord à des coûts considérables. Cela s’ajoutait au prix du Sno-FX, à 72$ la boîte de 2,5 kilogrammes, couvrant environ 44 mètres carrés.
En 2002, les frustrations de M. Quee envers les substituts précédents pour la neige l’avaient incité à inventer le Sno-FX. « La couleur n’était pas aussi blanche qu’elle aurait dû être, la taille des flocons n’était pas réaliste, il y avait souvent des débris dans la neige et ce n’était pas biodégradable », a-t-il évoqué dans les installations de sa compagnie Thomas FX Group. Ces problèmes étaient inhérents à la fausse neige fabriquée avec des minéraux, de la mousse de polystyrène ou des sacs de plastique. La neige de M. Quee inclut de la poudre à divers usages grossière, moyenne, fine et ultrafine.
« Elle a l’apparence de la véritable neige. (…) Elle glisse, forme des corniches, souffle sur une route comme cette neige venteuse du début novembre, a-t-il illustré. Et elle est assez blanche pour être utilisée aux côtés de la véritable matière. »
Lorsqu’un client a demandé à M. Quee de fabriquer de la neige noire, une autre invention est née. « Cela a mené à l’utilisation de la neige noire en tant que substitut à la cendre volcanique. Puisque nous pouvons la teindre de n’importe quelle couleur, des planificateurs de mariage l’utilisent. Elle est de plus en plus populaire pour remplacer les confettis ou le riz lors des mariages », a-t-il expliqué.
La compagnie de M. Quee avait aussi été la première au Canada à fabriquer du verre à briser pour l’industrie cinématographique, et son épouse, Betty, a été la première femme cascadeuse au pays.