« J’ai dit que j’étais en politique municipale pour y rester, alors je continue. S’il y a une partielle, c’est sûr que moi, ça m’intéresse toujours de me présenter. »
Elle a par ailleurs précisé qu’elle n’avait « pas particulièrement » d’affinités avec la CAQ sur le plan idéologique.
Du côté de la CAQ, on a assuré que Mélanie Joly avait été invitée à titre de conférencière à un colloque de la CRCAQ à l’initiative de celle-ci et non du parti. Le directeur des communications de la formation politique provinciale, Jean-Bernard Villemaire, a affirmé vendredi qu’aucune démarche n’avait été entreprise pour recruter Mélanie Joly comme candidate.
Cette dernière se consacre actuellement au développement de son parti à temps plein. Elle s’est également mise à la rédaction d’un essai politique. Elle surveille aussi de près la performance du maire de Montréal, Denis Coderre, à qui elle reproche notamment de présenter le budget de la métropole avec un mois de retard, ce qui coûtera environ 5 millions $ aux contribuables montréalais.
Le colloque de la CRCAQ se tiendra le 1er février à Québec.