Préférez donc: «J’ai mal compris, je me sens mal à l’aise lorsque…, je ressens de la colère.» Au lieu d’attaquer l’autre, vous partagez et communiquez vos sentiments.
Pratiquez l’écoute: cela est tout un art. Il n’est pas facile d’écouter quand vous avez déjà votre réponse sans même écouter jusqu’au bout votre interlocuteur. Essayez de vous retenir à prendre la parole. Concentrez-vous à ce que l’autre vous dit. Le regard est important. À travers lui, l’autre peut vérifier votre attention. Lorsqu’il a terminé de parler, exposez à votre tour vos idées.
Pratiquez l’empathie: est-ce que vous pouvez vous mettre à la place de l’autre? Comprendre ce qui se passe dans la tête de l’autre? Il faut entendre au-delà de son message. C’est d’entendre ce qu’il voudrait dire. Observez ses attitudes, son non verbal. Il est important de lui demander ce qu’il ressent. Aidez l’autre à s’exprimer.
Pratiquez le dialogue ouvert: vous désirez un échange, posez des questions ouvertes au lieu des questions fermées. Car celles-ci n’engagent pas l’autre à se confier. Exemple: « Tu es stressé face à la présentation?» La personne va répondre «oui» ou «un peu». Mais si vous demandez: «Comment te sens-tu face à la présentation de ce matin?», la personne se sentira interpellé et parlera plus facilement. Il faut faire attention aux questions inductives. C’est comme si vous pensiez à la place de l’autre.