Siemens a simplement indiqué par communiqué vouloir une « enquête exhaustive sur les irrégularités commises ». Bombardier et Hyundai Rotem n’avaient pas publié de commentaires dans l’immédiat.
Plus tôt cette semaine, les procureurs avaient porté des accusations contre 30 dirigeants de 12 entreprises. On ignorait si les arrestations des 17 autres dirigeants seraient requises.
Outre Siemens, Bombardier et Hyundai Rotem, la liste inclut CAF d’Espagne, Mitsui du Japon et la française Alstom.
La déclaration publiée mardi indiquait que les compagnies étaient impliquées dans des mécanismes de fixation des prix, et que celles qui remportaient les appels d’offres faisaient ensuite appel aux candidats défaits pour fournir des services.
Cinq contrats signés entre 1998 et 2008 font l’objet d’une enquête.
Source: AP