LE BUT:
Permettre aux participants de se réapproprier, le temps d’une soirée, une part de leur patrimoine en le mettant en valeur par leur simple présence et élégance.
POUR S’INSCRIRE AVANT LE 10 JUILLET À MIDI
Les personnes désirant vivre l’expérience unique du Dîner en Blanc pour la première fois peuvent s’inscrire sur la liste d’attente du site Web du Dîner en Blanc au plus tard le jeudi 10 juillet à midi : DÎNER EN BLANC
Un nombre limité de places (environ 1000) seront proposées aux personnes de cette liste d’attente par le biais d’une invitation courriel, et ce, dès le jeudi 10 juillet à midi.
Photo: Jean-Pierre Lavoie
UNE ORGANISATION ‘SECRÈTE’
Venus des quatre coins de la métropole, les milliers de participants sillonneront la ville pour rejoindre l’un des 25 points de ralliement, emportant avec eux tables, chaises pliantes et paniers de pique-nique. Ces groupes, constitués de 250 à 300 personnes, s’engouffreront au même moment dans le métro, ou monteront dans un autobus pour rejoindre l’un des plus beaux sites de la ville, tenu secret jusqu’à leur arrivée.
À 19 h précise, une vague blanche déferlera sur le site choisi. Avec l’aide de centaines de bénévoles, les invités seront escortés à l’emplacement précis où ils doivent installer leur table. En l’espace de 30 minutes, dans un joyeux chaos apparent, chacun trouvera rapidement sa place et le « Dîner » pourra enfin commencer. L’agitation des serviettes de table symbolisant la «prise de possession» du site marquera le début du repas. Les participants savoureront un repas raffiné qu’ils auront commandé ou cuisiné eux-mêmes.
ÉLÉGANCE, CONVIVIALITÉ ET SAVOIR-VIVRE
Élégance, convivialité et savoir-vivre sont les prérequis de ce chic pique-nique. « Le succès du Dîner en Blanc est attribuable à de nombreuses composantes » explique Aymeric Pasquier, l’organisateur du Dîner en Blanc de Montréal. « L’un d’eux est lié au fait que tout le monde participe activement à l’événement en préparant leur événement des semaines en avance. Cette préparation, parfois fastidieuse lorsqu’on participe pour la première fois, donne aux participants un sentiment d’accomplissement qu’ils ne pourraient retrouver dans aucun autre événement ou tout leur est fourni. Chacun doit apporter tables, chaises, cuisiner son meilleur repas, apporter champagne et vin, et trouver les plus beaux habits blancs qui sauront les distinguer de leur voisin… Au lieu d’être spectateur de la soirée, chacun en devient l’acteur… ».
Une fois le repas terminé, l’allumage des feux de Bengale signale l’ouverture de la piste de danse. Il compte parmi les moments les plus spectaculaires de la soirée. Un DJ prendra le relais pour faire danser les milliers d’invités.
Photo: Jean-Pierre Lavoie
UN «SUCCESS STORY» MONTRÉALAIS
Le Dîner en Blanc de Paris, à l’origine du phénomène mondial, compte 26 ans d’histoire. Ce n’est que depuis 3 ans que l’événement connait une « explosion » sur le plan international. La cinquantaine de Dîner en Blanc existants dans le monde sont désormais regroupés au sein d’un même réseau et pilotés depuis Montréal par le Dîner en Blanc International.
Sydney, New York, Singapour, Londres, Los Angeles, Kigali, Stockholm, Haïti, font partie des cinquante villes qui perpétuent désormais la tradition parisienne sur les cinq continents.